150 Films qui vont changer votre vie : Edition Feel Good

0

Découvrez une sélection inédite proposée par le Cerveau de 150 films qui pourraient changer à tout jamais votre à découvrir ou redécouvrir pendant le confinement.

Nous vivons une période inédite depuis le 20ème siècle : celle d’une épidémie sans frontières d’un virus nouveau qui se diffuse dans une contagion fulgurante. Une contagion qui pousse plusieurs pays du monde à imposer un confinement à ses populations, avec près d’un milliard de gens sommés de rester chez eux dans le monde. Un confinement à l’ère du smartphone et de l’internet, des géants du streaming et du cinéma à la portée d’un clic, qu’on pourrait presque ne pas savoir quoi faire

Pour mieux vous aider à vivre votre confinement et pour vous faciliter la tâche à travers les catalogues sans fin de sVOD disponibles en France , de Netflix à Amazon, en passant par Canal ou OCS et bientôt Disney +, le Cerveau vous propose une sélection qui va changer votre vie.

Une sélection de 150 films cultes, anciens ou récents qui auront  (si ce n’est pas déjà fait pour certains) un impact sur votre vie. Des films qui vous feront ressentir des choses très fortes, de la colère, en passant par le bonheur, l’amour, la joie, le fun ou même le mindfuck. Des films que tout à chacun, cinéphile ou simple spectateur de cinéma, se doit d’avoir vu au moins une fois dans sa vie !

15 films qui vont changer votre vie dans 10 catégories, histoire de vivre ce confinement sous de meilleurs auspices et avec beaucoup d’émotion, proposé par le Cerveau.

Et pour commencer, nous vous proposons de découvrir 15 films qui vous feront du bien. Du bien au cœur, du bien à l’âme et du bien au cerveau, alors que vous êtes coincé chez vous pour la bonne cause, à découvrir ci-dessous.

Et surtout, dans cette période troublée inédite et au-delà du réel (pun intended) Prenez soin de vous !

Cloud Atlas (2013)

Réalisation : Tom Twyker, Andy & Lana Wachovski

En 1849, un jeune notaire fait une difficile traversée du Pacifique. En 1936, un musicien ambitieux sans le sou quitte son amant pour travailler auprès d’un illustre compositeur à Edimbourg. Quelque cinquante ans plus tard, à San Francisco, une journaliste enquête sur les actions douteuses d’une compagnie pétrolière. A Londres, en 2012, un vieil éditeur endetté placé contre son gré dans une maison de retraite tente de s’en évader.  

Cloud Atlas est un grand huit cosmique mené d’une main de maître par le trio de réalisateurs Lana & Andy Wachovski avec Tom Tykwer. Ceux qui n’ont pas eu la chance de lire le roman de David Mitchell qui se voit porté à l’écran dans ce long métrage, Cartographie des nuages ne peuvent que tenter d’imaginer l’effort titanesque réalisé par ces artistes pour transposer à l’écran un récit aussi compliqué avec son style littéraire particulier et sa structure chorale. Six histoires qui se font écho sur deux siècles. Cloud Atlas, est une leçon de philosophie teintée de spiritisme avec cette idée séduisante d’interconnexion spirituelle.

La vie rêvée de Walter Mitty (2013)

Réalisation : Ben Stiller

La vie rêvée de Walter Mitty, c’est l’histoire de Walter, un homme d’âge moyen, directeur de la photographie pour le magazine Life. Walter est un homme timide, pas très sociable, de par son histoire personnelle et son activité. Pour fuir cette morne réalité, Walter possède quand même son imagination qui parfois le déconnecte de la vie réelle. Mais lorsque le dernier cliché du photographe phare du magazine disparaît, sa vie va aller bien au-delà de ses rêves.

Walter Mitty est un roller coaster de l’âme, une envie d’aventure, de dépassement de soi, d’ouverture d’esprit et le courage d’accomplir ses rêves les plus fous. Un film qui nous offre une ode au pouvoir infini de l’imagination. Une imagination qui ne sert pas à grand-chose si l’on ne se donne pas les moyens de concrétiser ses fantasmes. Une leçon sur le courage, l’humilité et la beauté des choses, même les plus simples, pour un dépaysement assuré, avec tous les bons sentiments à l’américaine qui vont avec.

La Vie Est Belle (1946)

Réalisation : Frank Capra

Le décès de son père oblige un homme à reprendre l’entreprise familiale de prêts à la construction, qui permet aux plus déshérités de se loger. Il entre en conflit avec l’homme le plus riche de la ville, qui tente de ruiner ses efforts. Au moment où il approche de la victoire, il égare les 8 000 dollars qu’il devait déposer en banque. Le soir de Noël, désespéré, il songe au suicide. C’est alors que le Ciel dépêche à ses côtés un ange de seconde classe, qui pour gagner ses ailes devra l’aider à sortir de cette mauvaise passe…

Peut-être l’un des plus grands films de Capra. Considéré par beaucoup comme l’une des œuvres les plus abouties, avec des angles et des jeux de caméra innovants pour son ère, La vie est belle est bien plus qu’un film d’auteur. C’est une ode à la vie. Un joli conte, pour une histoire sans prétention à la morale feel-good et bienveillante pour une hymne à la vie et l’humanité servi par une écriture inventive. Avec une belle morale, La vie est belle est peut-être l’une des plus belle fable de noël, à la morale bienveillante sans sombrer dans la mièvrerie.

Chantons Sous La Pluie

Réalisation : Stanley Donen, Gene Kelly

Don Lockwood est un acteur célèbre, il forme un couple, – au cinéma seulement – avec Lina Lamont. Par hasard, Don rencontre une danseuse qui, elle, n’est pas du tout connue, Kathy. Il tombe amoureux d’elle, ce qui excite la jalousie de Lina. Le cinéma qui était muet jusqu’alors devient sonore. Il faut bouleverser le tournage des films en conséquence, en particulier faire entendre les dialogues. Or, Lina a une voix nasillarde et, en plus, elle zozote. Kathy lui prête donc discrètement sa voix. Cela arrange Lina qui, toujours jalouse, veut l’empêcher de faire carrière. Mais Don, Cosmo et le producteur du film dévoilent ces manigances. Kathy est alors reconnue pour ce qu’elle est, une comédienne et chanteuse de grand talent. Le couple Don et Kathy sera heureux et fera beaucoup… de films !

Tout le monde connait la chanson « Singin’ in the Rain », pourtant tout le monde ne peut s’enorgueillir d’avoir vu le film.  Réalisé il y a plus de près de 70 ans, Chantons sous la pluie n’a pas pris une ride.  Une belle histoire pêchue et rocambolesque avec de l’humour, de la poésie, de belles chorégraphies pour une comédie musicale avec des comédiens qui se donnent à leurs personnages. Un beau film qui rend hommage aux premiers pas du cinéma parlant et une industrie en ébullition, loin des blockbusters actuels, porté par une joie communicative. Un chef d’œuvre intemporel, comme il en existe peu, pour une merveille du cinéma, même 70 ans après sa première sortie

 

Mon Voisin Totoro

Réalisation : Hayio Miazaki

Deux petites filles viennent s’installer avec leur père dans une grande maison à la campagne afin de se rapprocher de l’hôpital ou séjourne leur mère. Elles vont découvrir l’existence de créatures merveilleuses, mais très discrètes, les totoros.
Le totoro est une créature rare et fascinante, un esprit de la forêt. Il se nourrit de glands et de noix. Il dort le jour, mais les nuits de pleine lune, il aime jouer avec des ocarinas magiques. Il peut voler et est invisible aux yeux des humains. Il existe trois totoros : O totoro (gros), chu totoro (moyen) et chili totoro (petit).

Mon voisin Totoro n’est pas que l’histoire d’une virée fantastique et surnaturelle de deux petites filles dans un monde imaginaire loin de leur quotidien. Véritable antidépresseur, Mon voisin Totoro est une célébration de l’imagination enfantine, offerte dans une poésie et douceur comme jamais en animation. Un film doux qui célèbre la bienveillance, l’entraide, pour une ode humaniste universelle autour de la nature, le monde de l’enfance mais aussi la créativité de tout à chacun, avec ce monstre chat pas comme les autres, que tout le monde aimerait avoir dans son quotidien.

Forrest Gump

Réalisation : Robert Zemeckis
Forest Gump, un jeune homme simple d’esprit, raconte sa fabuleuse histoire à des passants attendant le bus assis comme lui, sur un banc. Il commence par son enfance ou il était physiquement handicapé des jambes, jusqu’ au moment où il se trouve sur le banc à raconter son histoire. Sa vie avec ces bons et mauvais moments qu’il a toujours vécus avec son enthousiasme naturel, est en fait un parallèle avec l’histoire des Etats-Unis durant la deuxième partie du XXème siècle que conte ce simple d’esprit en l’absence du jugement. En outre, Forest Gump aura été dans sa vie soldat au Viêt Nam, champion de ping-pong, de football américain, un marathonien exceptionnel grâce à ses talents de coureur, un capitaine de crevettier et pour finir, un milliardaire.

Forrest Gump est un film culte touchant le spectateur au plus profond de lui-même. Impossible de ne pas se sentir ému et transporté par ce personnage simple d’esprit muni d’un coeur gros comme une maison. Forrest Gump nous livre l’histoire décalée d’un homme dont la vie n’avait pas beaucoup à offrir au départ mais qui a réussi à transformer la sienne et celles des autres qu’il rencontrera sur son chemin en une aventure humaine remplie de changements et de surprises. Une leçon sur la vie, la simplicité et l’amour comme rarement vue au cinéma, à travers les yeux innocents et aimants d’un Tom Hanks des plus transcendants à l’écran.

 

Big Fish

Réalisation : Tim Burton

L’histoire à la fois drôle et poignante d’Edward Bloom, un père débordant d’imagination, et de son fils William. Ce dernier retourne au domicile familial après l’avoir quitté longtemps auparavant, pour être au chevet de son père, atteint d’un cancer. Il souhaite mieux le connaître et découvrir ses secrets avant qu’il ne soit trop tard. L’aventure débutera lorsque William tentera de discerner le vrai du faux dans les propos de son père mourant.

Que ce soit à travers des poissons volants, une sorcière ou des loups garous, Big Fish est l’une des plus belles œuvres de Tim Burton, et peut-être même l’une de ses plus touchante. Une histoire universelle, à l’imagination intelligente propre au réalisateur qui jongle avec souvent avec le monde de l’enfance au-delà de son imaginaire si personnelle. Une intrigue qui vise l’enfant à l’intérieur de nous, pour un conte intimiste et émouvant, sur le lien que l’on peut entretenir avec nos parents et les autres, d’une douceur inégalée.

Fabuleux Destin D’Amélie Poulain

Réalisation : Jean Pierre Jeunet

Amélie, une jeune serveuse dans un bar de Montmartre, passe son temps à observer les gens et à laisser son imagination divaguer. Elle s’est fixé un but : faire le bien de ceux qui l’entourent. Elle invente alors des stratagèmes pour intervenir incognito dans leur existence.
Le chemin d’Amélie est jalonné de rencontres : Georgette, la buraliste hypocondriaque ; Lucien, le commis d’épicerie ; Madeleine Wallace, la concierge portée sur le porto et les chiens empaillés ; Raymond Dufayel alias « l’homme de verre », son voisin qui ne vit qu’à travers une reproduction d’un tableau de Renoir.
Cette quête du bonheur amène Amélie à faire la connaissance de Nino Quincampoix, un étrange « prince charmant ». Celui-ci partage son temps entre un train fantôme et un sex-shop, et cherche à identifier un inconnu dont la photo réapparaît sans cesse dans plusieurs cabines de Photomaton.

Une quête du bonheur résolument française, pour un film qui se veut comme un véritable remède à la mélancolie à travers une histoire pas comme les autres. Une histoire d’amour pleine d’humour, mais aussi de complication, pour un film optimiste, intimiste, coloré et mythique, qui ne manquera pas de faire sourire tout en générant sa petite émotion larmoyante. L’une des œuvres les plus connues au monde de Jeunet, pour une ode à l’amour et la vie parisienne pas comme les autres.

500 Jours Ensemble

Réalisation : Marc Webb
Tom croit encore en un amour qui transfigure, un amour à la destinée cosmique, un coup de foudre unique. Ce qui n’est pas du tout le cas de Summer. Cela n’empêche pourtant pas Tom de partir à sa conquête, armé de toute sa force et de tout son courage, tel un Don Quichotte des temps modernes. La foudre tombe le premier jour, quand Tom rencontre Summer la nouvelle secrétaire de son patron, une belle jeune fille enjouée.

500 jours ensemble, ou 500 Days of Summer dans sa version originale, pourrait être considéré comme l’anti-comédie romantique avec un grand A, de référence. Là où les films romantiques se cantonnent au schéma classique et cliché du « garçon rencontre fille et vécurent heureux jusqu’à la fin des temps à jamais à nourrir des koalas trop chou dans une caravane rose à petit pois bleus », 500 jours ensemble fait preuve de réalisme en dépeignant toutes les saisons de l’amour avec une dose d’humour et une finesse rare pour les écrans américains. Une finesse qui fait du bien.

The Greatest Showman (2017)

Réalisation : Michael Gracy

The Greatest Showman célèbre la naissance du show-business et l’émerveillement que l’on éprouve lorsque les rêves deviennent réalité. Inspirée par l’ambition et l’imagination de P.T Barnum, voici l’histoire d’un visionnaire parti de rien qui a créé un spectacle devenu un phénomène planétaire.

Rempli de bon sentiments d’acceptation autour l’acceptation de la diversité ou de la différence, mais aussi de l’American Dream, cette success-story en costume sur fond de comédie musicale pep’s et pêchue, tout en couleur, portée par un maître de cérémonie aussi charismatique que Hugh Jackman est un bonbon qui fera du bien à tout spectateur, qu’il apprécie les spectacles de cirques ou non.

Jerry Maguire (1996)

Réalisation : Cameron Crowe

Riche, beau et célèbre, Jerry Maguire, agent des stars du sport americain, l’est. Mais sa vie mondaine et factice lui pèse, et une nuit il se remet en question dans une note qu’il rédige, où il tente de définir le sens qu’il voudrait donner à sa vie. Cette note va provoquer son licenciement et tous ses amis vont le trahir. Seule Dorothy, son assistante, et Rod, un footballeur facétieux, vont lui rester fidèles.

Film culte des années 90 pour l’un des plus rôles de Tom Cruise au cinéma. A la fois fable sportive, histoire d’amour et d’amitié, Jerry Maguire est un film qui veut, avec humour et émotion, revenir à l’essentiel de ce qui résume la vie pour mieux la célébrer. Un film touchant servi dans une réalisation typique des années 90 et un casting 5 étoiles. Un cinéma léger et rédempteur autour d’une success story pas comme les autres.

Intouchables

Réalisation : Eric Toledano, Olivier Nakache

A la suite d’un accident de parapente, Philippe, riche aristocrate, engage comme aide à domicile Driss, un jeune de banlieue tout juste sorti de prison. Bref la personne la moins adaptée pour le job. Ensemble ils vont faire cohabiter Vivaldi et Earth Wind and Fire, le verbe et la vanne, les costumes et les bas de survêtement… Deux univers vont se télescoper, s’apprivoiser, pour donner naissance à une amitié aussi dingue, drôle et forte qu’inattendue, une relation unique qui fera des étincelles et qui les rendra… Intouchables.

Primés 16 fois, Intouchable est peut-être l’un des plus grands succès du cinéma français avec Amélie Poulain. Un film touchant de deux hommes qui n’était pas destiné par leur origines sociales et ethniques à lier une amitié comme la leur. L’histoire de deux hommes qui avaient besoin de l’un de l’autres, qui se découvrent et se nourrissent avec leurs personnalités et style de vie pourtant à l’opposé. Un film drôle, bienveillant touchant et plein d’optimisme qui donne toujours la patate à chaque visionnage.

Billy Elliott (2000)

Réalisation : Stephen Daldry

Dans un petit village minier du Nord-Est de l’Angleterre, Billy, onze ans, découvre avec stupeur qu’un cours de danse partage désormais les mêmes locaux que son club de boxe. D’abord effaré, il devient peu à peu fasciné par la magie de la gestuelle du ballet, activité pourtant trop peu virile au regard de son père et de son frère Tony, mineurs en grève. Billy abandonne les gants de cuir pour assister discrètement aux leçons de danse professées par Mme Wilkinson. Repérant immédiatement un talent potentiel, elle retrouve une nouvelle énergie devant les espoirs que constitue Billy. Les frustrations larvées explosent au grand jour quand son père et son frère découvrent que Billy a dépensé l’argent consacré au cours de boxe pour des cours de danse. Partagé entre une famille en situation de crise et un professeur de ballet têtu, le jeune garçon embarque alors dans un voyage à la découverte de lui-même.

Billy Elliott c’est bien l’histoire d’un garçon qui veut briser les normes et les conventions sociales genrées. Un film touchant qui remue les cœur, pour la détermination et l’émerveillement du petit Billy qui fait ses premiers pas en danse et s’élance ainsi dans un voyage initiatique sans pareil. C’est aussi un film qui par ses sursauts d’humour et de tendresse dans cette Angleterre que l’on connait peu, loin de la fourmilière londonienne.

Sing Street (2016)

Réalisation: John Carney

Dublin, années 80. La pop, le rock, le métal, la new wave passent en boucle sur les lecteurs K7, vibrent dans les écouteurs des walkmans et le rendez-vous hebdomadaire devant  « Top of the Pops » est incontournable. Conor, un lycéen dont les parents sont au bord du divorce, est obligé à contrecœur de rejoindre les bancs de l’école publique dont les règles d’éducation diffèrent de celles de l’école privée qu’il avait l’habitude de fréquenter. Il se retrouve au milieu d’élèves turbulents qui le malmènent et de professeurs exigeants qui lui font rapidement comprendre qu’en tant que petit nouveau, il va devoir filer doux. Afin de s’échapper de cet univers violent, il n’a qu’un objectif : impressionner la plus jolie fille du quartier, la mystérieuse Raphina. Il décide alors de monter un groupe et de se lancer dans la musique, univers dans lequel il ne connait rien ni personne, à part les vinyles de sa chambre d’adolescent. Afin de la conquérir,  il lui propose de jouer dans son futur clip.

Sing street c’est un peu le revival des années lycée. Un film qui nous fait passer par plusieurs émotions au-delà de la nostalgie : on rit, on pleure, on se remémore les années lycées et notre folle jeunesse, qu’elle ait été remplie d’insouciance ou nous. Une peinture positive et colorée, mais surtout musicale d’une époque de transition dans la vie de tout un chacun, ce rite initiatique de l’adolescence, qui nous trouble et nous donne des ailes.

Certains L’aiment Chaud (1959)

Réalisation : Billy Wilder

Deux musiciens de jazz au chômage, mêlés involontairement à un règlement de comptes entre gangsters, se transforment en musiciennes pour leur échapper. Ils partent en Floride avec un orchestre féminin. Ils tombent illico amoureux d’une ravissante et blonde créature, Alouette, qui veut épouser un milliardaire.

Certains l’aiment chaud est un classique hollywoodien qui ne prend une seule ride même plus de 50 ans après sa sortie. S’il est culte c’est avant tout grâce à son mode de narration et son esthétique particulière surtout pour son temps. Le réalisateur, Billy Wilder fait baigner dans l’attraction sexuelle, le danger, les relations compliquée mais le tout traité sur le ton de la comédie. Un film humain qui offre au spectateur un véritable voyage émouvant à une époque qu’il n’a surement pas connu, mais toujours aussi universelle dans sa peinture de l’humanité.

Crédit photos : Droits réservés 

Partager