Bilan des fins de saisons de l’année 2013-2014 : Lesquels voir ? Lesquels zapper ? C’est le « à voir à zapper » !
Ces dernières semaines, les principales chaînes américaines ont mis fin aux saisons 2013-2014. Quels sont les finaux à voir, et ceux à zapper (ou voir et détester, car quand c’est sa série favorite, même si le final est mauvais, on le regarde forcément) ? Cette année, curieusement, beaucoup de fins de saison se sont révélées de qualité.
Ainsi, la majorité des fins de saison sont classées par la rédaction de Brain Damaged dans les catégories « à voir » et « mitigé » Seules six séries ont eu des épisodes décevants : Reign, Mentalist, Grey’s Anatomy, Resurrection, Taxi Brooklyn et The Millers. Verdict avec liens ci-dessous.
The Americans (FX)
The Americans s’est améliorée cette saison sur la profondeur et la manière dont nos espions obtiennent leurs informations. A la torture et au sexe, ils ont ajouté la manipulation, la traîtrise, le chantage à long terme. En d’autres mots, la série est de plus en plus complexe, sans pour autant être confuse. Mais surtout, The Americans décrit ici une histoire tragique, dont on connaît tous la fin, qui n’aura que des perdants, certains sûrement plus chanceux que d’autres. Lire la critique complète.
Arrow (The CW)
La saison 2 de Arrow confirme que la série est l’une des meilleures de la chaînes, avec une qualité à faire pâlir Smallville et ses amourettes (faussement) adolescentes. En comparaison, The Flash sera une série un peu plus lumineuse esthétiquement et moralement : on est curieux de voir le résultat. Lire la critique complète.
Chicago Fire (NBC)
Avec un ensemble très bien géré du début à la fin de la saison sans laisser de personnages de côtés, des acteurs qui sont toujours aussi convaincants et une réalisation souvent irréprochable, le tout pour servir un scénario et des intrigues très bien écrits, la saison 2 de Chicago Fire confirme la réussite de la saison 1. Lire la critique complète.
Chicago PD (NBC)
La série, à l’image de sa grande soeur, Chicago PD est très bien construire, aussi bien dans ses personnages que dans ses intrigues, très bien rythmées, qui ne durent jamais trop longtemps et sont que rarement bâclées. Ce season finale est dans cette optique de parfaite continuité. Lire la critique complète.
Parks and Recreation (NBC)
Cette saison a été menée de mains de maître par les scénaristes. Parks and Recreation est toujours aussi drôle et on ne se lasse jamais de cette bande pugnace et déjantée. On est tout de même déçu des audiences qui ne décollent pas mais on remercie NBC de croire en elle en lui accordant une nouvelle saison. Lire la critique complète.
Scandal (ABC)
Encore une fois, Shonda Rhimes et son équipe de scénaristes ont trouvé la parade et baladé le public avec brio. Personne ne pouvait voir ce qui allait arriver. C’est intelligemment écrit et brillamment interprété. Rhimes a le talent de mener les choses sur une fausse piste, de nous faire croire que telle personne est coupable ce qui est totalement logique mais il n’en est rien. Lire la critique complète.
The Big Bang Theory (CBS)
The Big Bang Theory a été renouvelée pour trois autres saisons. S’il n’est pas certain que les personnages possèdent assez d’épaisseur pour tenir trois autres saisons satisfaisantes niveaux intrigues et développement, cette saison 7 montre que l’humour de la série est toujours présent. Et c’est bien le principal but d’une sitcom : nous faire rire. Et ceci, The Big Bang Theory y arrive parfaitement bien.Lire la critique complète.
Person of Interest (CBS)
La saison 3 de Person of Interest confirme l’ampleur croissante que prend la série et a commencé avec la mort de Carter. Elle n’est plus simplement une série du type “la personne de la semaine”, ce qui aurait lassé au bout de quatre ans. Elle est devenue une série de science-fiction avec l’affrontement de deux entités artificielles intelligentes créées par l’homme qui ont des desseins et des configurations différents.Lire la critique complète.
Elementary (CBS)
Si les épisodes sont d’une qualité inégale cette année, l’intrigue générale de la saison, l’évolution graduelle et constante des personnages, y compris les personnages secondaires comme Bell et Gregson, malheureusement un peu oubliés dans les quatre derniers épisodes, est si bien écrite que c’est un plaisir de les retrouver de semaine en semaine. Ajouter à cela de jolies pointes d’humour et quelques clins d’oeil à l’oeuvre originale de Sir Arthur Conan Doyle et la seconde saison de Elementary confirme que c’est une série qui mérite le détour. Lire la critique complète.
Warehouse 13 (SyFy)
La saison 5 de Warehouse 13 est surtout un hommage aux personnages et une façon de remercier les fans de la série qui sont restés devant leur écran toutes ces années, entre flashbacks et aventures qu’on n’a pas vues sur le petit écran jusqu’à présent. Warehouse 13 a rempli sa mission, malgré ses défauts apparents, et on est reconnaissant à toute l’équipe de nous avoir divertis jusqu’à présent dans une série qui n’a pas d’égal. Les nostalgiques pourront cependant retrouver un sujet assez proche dans la prochaine série de TNT The Librarians. Lire la critique complète.
Supernatural (The CW)
Cette saison a comme toujours permis aux quatre acteurs principaux de la série de se distinguer, que ce soit les frères Winchester, Castiel ou Crowley. Si la relation entre les deux premiers est toujours aussi irrégulière, sur le ton de “Je t’aime moi non plus”, ils arrivent toujours à faire passer leurs sentiments, leur colère, de manière réussie et efficace. Castiel, en ange tourmenté est toujours aussi attachant et fort. Tandis que Crowley est toujours aussi délicieusement interprété par un Mark Sheppard irréprochable. Lire la critique complète.
Modern Family (ABC)
La saison passée, Modern Family se reposait beaucoup sur ses acquis et offrait des épisodes moyens. Cette saison, on sent un renouveau avec une vraie envie d’évoluer. Les enfants grandissent, ils changent. Certes ils restent avec leur personnalité déjà bien définies mais il a de l’évolution qu’on ressent. Luke et Manny ne sont plus des petits garçons, se sont des ados avec les hormones en feu, Lily est de plus en plus drôle à chaque épisode et grandit à une vitesse folle. Alex est toujours l’ado responsable mais elle essaie de se décoincer un peu plus. Lire la critique complète.
The Good Wife (ABC)
La saison 5 de The Good Wife se termine dans ce 22ème épisode avec autant de tumultes et de péripéties condensés en un épisode qu’ont démontré les 21 épisodes précédents. Dans cette saison, les épisodes de 45 minutes contiennent de grands développements, autour des personnages permanents de la série, dont la psychologie et les relations ne sont pas vraiment développés. Lire la critique complète.
Grimm (NBC)
La saison 3 de Grimm continue donc dans la lancée des précédentes et réaffirme le potentiel de la série qui n’est pas seulement un plaisir coupable mais une série qui peut être passionnante pour les amateurs d’histoires surnaturelles. Lorsque la série a été annoncée pour la même saison de lancement que Once Upon A Time, beaucoup pensaient qu’une seule des deux survivrait. On est heureux que l’histoire a donné tort à ce pronostic. Lire la critique complète.
The Goldbergs (ABC)
On est contents de savoir qu’une saison 2 aura bien lieu et qu’on pourra continuer à suivre les aventures folles de cette famille qui a commencé par nous hurler dans les oreilles pour se faire remarquer et qui aura fini par avoir toute notre attention et notre affection comme un bébé qui pleure parce qu’il veut qu’on le tienne dans les bras. Et bien sûr le casting porte la série à merveille.Lire la critique complète.
The Originals (The CW)
La première saison de The Originals vient de se terminer sur The CW. Quel bilan peut-on en tirer ? Celle-ci s’est révélée avant tout très forte, beaucoup plus adulte et meilleure que The Vampire Diaries. Si on compare l’évolution des deux séries, le spin-off est devenu meilleur que l’original, porté il est vrai par de très bons acteurs, et étant prêt à perdre plusieurs personnages originaux Lire la critique complète.
Agents of SHIELD (ABC)
La première saison d’Agents of S.H.I.E.L.D. est pour autant loin d’être parfaite. Sans les six épisodes finaux, on en serait restés à une série certes agréable mais insignifiante. La saison contient beaucoup trop d’épisodes avec des intrigues faibles voire inintéressantes, qui sont oubliées aussi vite qu’elles ont été vues. Les clins d’oeil à l’univers sont agréables et souvent organiques, mais le fan service est parfois un peu trop présent. Cependant, l’amélioration progressive de la série prouve que Jed Whedon et Maussa Tancharoen savent tirer les leçons de leurs erreurs et promettent une saison deux qui sera bien meilleure dans l’ensemble. Lire la critique complète.
Castle (ABC)
Si la saison 6 de Castle est loin d’être parfaite avec plus d’épisodes moyens que les autres saisons, on retrouve toujours la capacité d’Andrew Marlowe de surprendre, de jouer entre la tragédie et la pure comédie. Le créateur de la série prouve encore une fois qu’il a une très claire idée de ce qu’il veut faire et n’improvise que rarement sur ses intrigues en fil rouge. Il faut cependant espérer que pour la saison 7, il arrive à se renouveler. Avec la majorité des intrigues ouvertes lors du pilote de la série conclues cette saison, cela ne sera pas forcement chose facile. Mais le cliffhanger final permet d’espérer qu’il y parviendra. Lire la critique complète.
The Blacklist (NBC)
La saison 1 de The Blacklist vient de se terminer sur NBC et le moins qu’on puisse dire est qu’elle est satisfaisante. L’époque où les séries ajoutaient des mystères sans répondre aux questions est révolue et la fin de cette pratique est plutôt salutaire. Ainsi, au lieu de nous faire saliver plusieurs saisons, la série a répondu à LA question que tout le monde se posait : qui est le vrai père de Liz Keen ?Lire la critique complète.
Once Upon A Time (ABC)
La seconde partie de cette saison s’est montrée bien plus solide que la première partie avec une histoire qui a avancé suffisamment rapidement mais sans être bâclée et a donné beaucoup de révélations sur le passé des personnages qui font comprendre encore mieux pourquoi ils sont comme ils sont. Lire la critique complète.
Hawaii 5-0 (CBS)
Cette saison a été celle d’une évolution, plus que celle des révélations : on sait juste que Wo-Fat n’est pas le demi-frère de Steve McGarrett comme les fans l’ont longtemps cru. La discussion prévue entre les deux hommes en saison 5 lèvera peut-être le voile. Dans tous les cas, la série sait montrer qu’elle peut toujours se renouveler.Lire la critique complète.
Hannibal (NBC)
On attend de voir ce que nous réserve une saison 3 suite à cette séquence, en espérant qu’elle suive la cohérence qui s’est emparée de cette seconde moitié de saison. Avec des audiences aussi basses que le dernier flop de NBC, à savoir Revolution, Hannibal réunit à peine deux millions de téléspectateurs en moyenne devant les écrans, avec un indice assez bas sur sa cible. Pourtant NBC croit en l’oeuvre de Bryan Fuller, qui aurait déjà une bible allant jusqu’à sept saisons. En attendant, la saison 3 inespérée mais bien commandée, rendez-vous l’année prochaine, pour d’autres massacres. Lire la critique complète.
The Vampire Diaries (The CW)
La saison 5 de la série a connu, comme souvent, des hauts et des bas. The Vampire Diaries est en train de se faire dépasser, scénaristiquement, en qualité, par son spin-off The Originals. Même si on est heureux de voir une harmonie entre les deux séries. Lire la critique complète.
Nashville (ABC)
Une saison riche en rebondissements, changements, alliances et mésalliances dans la ville mythique de Nashville et son univers impitoyable, pour un final qui se focalise essentiellement sur les relations de couples de la série. Car oui, Nashville n’est pas qu’une histoire de musique Country mais bien un drama familial, relationnel, parfois politique, mais avant tout amoureux. Lire la critique complète.
Esprits criminels (CBS)
La neuvième saison de Esprits Criminels montre que si la série commence à tourner en rond dans beaucoup d’épisodes qui ont un sentiment de déjà vu, les personnages continuent à être attachants et on peut parfois avoir quelques bonnes surprises dans ce diptyque Angels / Demons. Pour une fois on n’a pas de cliffhanger et c’est aussi une très bonne chose. Lire la critique complète.
Trophy Wife (ABC)
Malgré le clair ciblage des jeunes audiences, Trophy Wife ne déçoit pas et contient un bon nombre de blagues dans son portfolio. Le cerveau approuve donc cette série sympathique à regarder, en famille ou solo style! Lire la critique complète.
NCIS (CBS)
Le final de cette saison 11 de NCIS a une forte charge émotionnelle. En février dernier, Ralph Waite, qui incarnait de Jackson Gibbs, est décédé. Au lieu d’en faire une simple mention lors d’un épisode, l’équipe de la série a décidé d’offrir le dernier épisode de la saison à la mémoire de l’acteur. Une excellente décision qui permet à Honor Thy Father de devenir l’un des épisodes les plus intenses de la série. Lire la critique complète.
Glee (FOX)
La saison prochaine sera la dernière de Glee. La série aura normalement droit a une saison de 24 épisodes pour conclure les aventures de ce groupe, venu de Lima dans l’Ohio qui tentent juste de faire de leur mieux pour réaliser leur rêve. Glee reste donc très idéaliste et positive et c’est ce qu’on cherche en regardant la série : un peu d’espoir. Elle arrive encore à fournir ce message que tout est possible avec de la volonté et de l’espoir. Lire la critique complète.
Revenge (ABC)
ATTENTION SPOILERS Cette fin de saison est donc cruciale pour Revenge : le retour de David Clarke et la mort d’Aiden permettent entre autres de se concentrer sur le présent. La mort apparente de Conrad conclut une série de transformations que le personnage a connues, prêt à confesser ses crimes sous l’influence de son ami prêtre puis à nouveau orgueilleux. Le personnage a su montrer, malgré tout ce qu’il a pu faire, un côté humain, touchant par moments. Mais celui-ci disparaît bien vite dès qu’il se rend compte qu’il reprend la main et n’est plus menacé : le meurtre de Päscal Lemarchal en témoigne et marque l’apogée de cette période. Lire la critique complète.
The Following (Fox)
La saison 3 devra de ce point de vue évoluer : si aucun risque n’est pris, on va se retrouver avec Joe Carroll qui s’échappe de prison une nouvelle fois, s’en prendra à Claire et Ryan etc. The Following est passée de série-événement à routinière. La saison 3, qui pourrait servir de conclusion, devra tout faire pour raviver la flamme.Lire la critique complète.
New Girl (Fox)
Si certains épisodes étaient moins efficaces que d’autres, New Girl reste une série drôle avec un groupe de personnages très attachants voire parfois “attachiants”, un peu fous mais avec un vrai développement de personnages. Chacun se cherche de manière personnelle et professionnelle, le tout dans une dinguerie douce. Lire la critique complète.
Bones (Fox)
Bones est une série longue de 9 saisons dans un genre policier sur-représenté dans le monde des séries américaines. Il est compréhensible voire acceptable que certains thèmes, intrigues et scénario se répètent. Mais Hart Hanson et Stephen Nathan ne tentent même pas de leur donner un nouvel angle d’attaque, ou d’apporter quelques petits éléments rafraîchissants. On devine même déjà comment va se dérouler le premier épisode de la saison 10, sans avoir besoin de faire un grand effort d’imagination. Les auteurs ne se sont d’ailleurs pas laissés beaucoup d’options : pour que la série continue, les fouines sont obligés de tout faire pour innocenter Booth et Brennan. Le nom du grand méchant derrière tout cela n’est qu’une arrière-pensée qui semble d’un importance négligeable tant l’épisode a oublié de traiter ce mystère. Lire la critique complète.
NCIS Los Angeles (CBS)
NCIS Los Angeles a fini sa cinquième saison en se terminant en cliffhanger. La série garde son ton plutôt classique, privilégiant l’action et une esthétique ensoleillée qui en fait toujours l’équivalent des Experts : Miami dans la franchise. L’intrigue de ce final est plutôt classique et a déjà été vue plusieurs fois : l’équipe fait face à des méchants terroristes dans son ton manichéen habituel.Ce n’est pas de ce côté qu’il faut trouver l’originalité. Lire la critique complète.
The Mindy Project (Fox)
The Mindy Project s’est amélioré depuis le début de la saison 2 qui n’était pas très bien partie. Les personnages sont moins caricaturaux (on pense à Tamra) et mieux pensés même si certains manquent encore un peu de profondeur. (…) Malgré ses chiffres assez bas, la Fox a déjà donné une saison 3 à The Mindy Project mais réduite puisqu’elle ne contiendra que 15 épisodes. On attend donc de voir comment l’histoire Mindy/Danny va se dégoupiller. Lire la critique complète.
Mom (CBS)
La vraie star de Mom n’est pas Anna Faris mais Allison Janney. Cette actrice est impeccable et peut tout faire. Elle a le talent de rendre une sitcom moyenne meilleure. Son timing comique est irréprochable et son jeu est parfait. Elle est magistrale dans l’excellente série Masters of Sex, et elle est géniale dans Mom qui n’est qu’une sitcom moyenne. Elle élève clairement le niveau de cette série qui même si elle a bon coeur, tombe à plat sur beaucoup de choses. Sans Allison Janney dans le rôle de Bonnie, il est pas sûr que Mom tiendrait le coup. Lire la critique complète.
The Millers (CBS)
The Millers une comédie familiale relativement classique. Tout le long de la saison, la série a su offrir des épisodes distrayants mais qui n’ont jamais vraiment constitué une série qui sort de l’ordinaire. Une comédie amusante, certes mais sans vraiment rien de neuf à offrir. Là où The Millers se démarque est que Greg Thomas a eu l’excellente idée d’exploiter le talent comique de Margo Martindale. Et c’est d’autant plus vrai dans ce dernier épisode de la saison, consacré à la fête des mères. Lire la critique complète.
Taxi Brooklyn (TF1 / NBC)
La série dans son ensemble reste agréable, se laisse facilement regarder et offre quelques moments drôles. Cependant, elle manque de vrais développements de personnages trop en surface sauf bien sûr les deux protagonistes principaux qui sont mieux travaillés mais au détriment des autres dont on ne sait pratiquement rien. Certaines scènes sont superflues et n’apportent rien à l’histoire. Lire la critique complète.
Resurrection (ABC)
Resurrection avait très bien commencé avec un premier épisode promettant beaucoup de mystères et une belle charge émotionnelle. Mais au cours des 8 épisodes, la série de ABC n’a pas su tenir ses promesses. Rythme lent où rien ne semble se passer, intrigues secondaires qui ressemblent plus à un soap qu’à une série dramatique, une émotion de moins en moins intense et avancement dans l’intrigue presque inexistant on fait de ce qui aurait pu être une grande série de la saison 2014, une déception. Lire la critique complète.
Grey’ Anatomy (ABC)
Grey’s Anatomy est la seconde série de la chaîne ABC, avec en moyenne 8 millions et demi de téléspectateurs à chaque diffusion. Le drama chirugical se classe juste derrière l’autre série de Shonda Rhimes qui cartonne : Scandal. A se demander presque, si, à force de s’engager d’en d’autres projets séries, Rhimes ne négligerait pas celle qui lui a offert le respect de ses pairs et de l’industrie. Grey’s Anatomy entame-t-elle le début de sa fin avec le départ de Cristina malgré le retour assuré de certains réguliers ? La série va-t-elle continuer à fonctionner sans son personnage iconique ? Pour le savoir rendez-vous en septembre prochain. Lire la critique complète.
Mentalist (CBS)
La saison 6 de Mentalist montre bien que Bruno Heller et son équipe souhaitent conclure la série, et le plus rapidement possible. Après une fin pour John Le Rouge qui laisse un arrière-goût amer et n’a pas forcement convaincu les fans, voici une fin de saison tout aussi faible et anti-climatique. Lire la critique complète.
Reign (The CW)
A une époque où la Fantasy a le vent en poupe à la télévision notamment grâce au succès de Game of Thrones, Reign se veut un peu comme « GoT pour les ados », avec ses accords et alliances féodales, ses secrets, ses relations cachées, ses coups bas, trahisons et autres stratagèmes. Mais là où Reign « part en sucette » – comme le dirait son public – c’est sur sa thématique mystique et fantastique sur fond de croyance païenne. Une volonté peut être d’emprunter certains codes de fantasy, bien évidement ratée, et résolue en fin de saison, pour peut-être laisser plus de place aux relations de ces jeunes monarques avec leurs sujets. –
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