The Americans (FX)
The Americans s’est améliorée cette saison sur la profondeur et la manière dont nos espions obtiennent leurs informations. A la torture et au sexe, ils ont ajouté la manipulation, la traîtrise, le chantage à long terme. En d’autres mots, la série est de plus en plus complexe, sans pour autant être confuse. Mais surtout, The Americans décrit ici une histoire tragique, dont on connaît tous la fin, qui n’aura que des perdants, certains sûrement plus chanceux que d’autres. Lire la critique complète.
Arrow (The CW)
La saison 2 de Arrow confirme que la série est l’une des meilleures de la chaînes, avec une qualité à faire pâlir Smallville et ses amourettes (faussement) adolescentes. En comparaison, The Flash sera une série un peu plus lumineuse esthétiquement et moralement : on est curieux de voir le résultat. Lire la critique complète.
Chicago Fire (NBC)
Avec un ensemble très bien géré du début à la fin de la saison sans laisser de personnages de côtés, des acteurs qui sont toujours aussi convaincants et une réalisation souvent irréprochable, le tout pour servir un scénario et des intrigues très bien écrits, la saison 2 de Chicago Fire confirme la réussite de la saison 1. Lire la critique complète.
Chicago PD (NBC)
La série, à l’image de sa grande soeur, Chicago PD est très bien construire, aussi bien dans ses personnages que dans ses intrigues, très bien rythmées, qui ne durent jamais trop longtemps et sont que rarement bâclées. Ce season finale est dans cette optique de parfaite continuité. Lire la critique complète.
Parks and Recreation (NBC)
Cette saison a été menée de mains de maître par les scénaristes. Parks and Recreation est toujours aussi drôle et on ne se lasse jamais de cette bande pugnace et déjantée. On est tout de même déçu des audiences qui ne décollent pas mais on remercie NBC de croire en elle en lui accordant une nouvelle saison. Lire la critique complète.
Scandal (ABC)
Encore une fois, Shonda Rhimes et son équipe de scénaristes ont trouvé la parade et baladé le public avec brio. Personne ne pouvait voir ce qui allait arriver. C’est intelligemment écrit et brillamment interprété. Rhimes a le talent de mener les choses sur une fausse piste, de nous faire croire que telle personne est coupable ce qui est totalement logique mais il n’en est rien. Lire la critique complète.
The Big Bang Theory (CBS)
The Big Bang Theory a été renouvelée pour trois autres saisons. S’il n’est pas certain que les personnages possèdent assez d’épaisseur pour tenir trois autres saisons satisfaisantes niveaux intrigues et développement, cette saison 7 montre que l’humour de la série est toujours présent. Et c’est bien le principal but d’une sitcom : nous faire rire. Et ceci, The Big Bang Theory y arrive parfaitement bien.Lire la critique complète.
Person of Interest (CBS)
La saison 3 de Person of Interest confirme l’ampleur croissante que prend la série et a commencé avec la mort de Carter. Elle n’est plus simplement une série du type “la personne de la semaine”, ce qui aurait lassé au bout de quatre ans. Elle est devenue une série de science-fiction avec l’affrontement de deux entités artificielles intelligentes créées par l’homme qui ont des desseins et des configurations différents.Lire la critique complète.
Elementary (CBS)
Si les épisodes sont d’une qualité inégale cette année, l’intrigue générale de la saison, l’évolution graduelle et constante des personnages, y compris les personnages secondaires comme Bell et Gregson, malheureusement un peu oubliés dans les quatre derniers épisodes, est si bien écrite que c’est un plaisir de les retrouver de semaine en semaine. Ajouter à cela de jolies pointes d’humour et quelques clins d’oeil à l’oeuvre originale de Sir Arthur Conan Doyle et la seconde saison de Elementary confirme que c’est une série qui mérite le détour. Lire la critique complète.
Warehouse 13 (SyFy)
La saison 5 de Warehouse 13 est surtout un hommage aux personnages et une façon de remercier les fans de la série qui sont restés devant leur écran toutes ces années, entre flashbacks et aventures qu’on n’a pas vues sur le petit écran jusqu’à présent. Warehouse 13 a rempli sa mission, malgré ses défauts apparents, et on est reconnaissant à toute l’équipe de nous avoir divertis jusqu’à présent dans une série qui n’a pas d’égal. Les nostalgiques pourront cependant retrouver un sujet assez proche dans la prochaine série de TNT The Librarians. Lire la critique complète.
Supernatural (The CW)
Cette saison a comme toujours permis aux quatre acteurs principaux de la série de se distinguer, que ce soit les frères Winchester, Castiel ou Crowley. Si la relation entre les deux premiers est toujours aussi irrégulière, sur le ton de “Je t’aime moi non plus”, ils arrivent toujours à faire passer leurs sentiments, leur colère, de manière réussie et efficace. Castiel, en ange tourmenté est toujours aussi attachant et fort. Tandis que Crowley est toujours aussi délicieusement interprété par un Mark Sheppard irréprochable. Lire la critique complète.
Modern Family (ABC)
La saison passée, Modern Family se reposait beaucoup sur ses acquis et offrait des épisodes moyens. Cette saison, on sent un renouveau avec une vraie envie d’évoluer. Les enfants grandissent, ils changent. Certes ils restent avec leur personnalité déjà bien définies mais il a de l’évolution qu’on ressent. Luke et Manny ne sont plus des petits garçons, se sont des ados avec les hormones en feu, Lily est de plus en plus drôle à chaque épisode et grandit à une vitesse folle. Alex est toujours l’ado responsable mais elle essaie de se décoincer un peu plus. Lire la critique complète.
The Good Wife (ABC)
La saison 5 de The Good Wife se termine dans ce 22ème épisode avec autant de tumultes et de péripéties condensés en un épisode qu’ont démontré les 21 épisodes précédents. Dans cette saison, les épisodes de 45 minutes contiennent de grands développements, autour des personnages permanents de la série, dont la psychologie et les relations ne sont pas vraiment développés. Lire la critique complète.
Grimm (NBC)
La saison 3 de Grimm continue donc dans la lancée des précédentes et réaffirme le potentiel de la série qui n’est pas seulement un plaisir coupable mais une série qui peut être passionnante pour les amateurs d’histoires surnaturelles. Lorsque la série a été annoncée pour la même saison de lancement que Once Upon A Time, beaucoup pensaient qu’une seule des deux survivrait. On est heureux que l’histoire a donné tort à ce pronostic. Lire la critique complète.
The Goldbergs (ABC)
On est contents de savoir qu’une saison 2 aura bien lieu et qu’on pourra continuer à suivre les aventures folles de cette famille qui a commencé par nous hurler dans les oreilles pour se faire remarquer et qui aura fini par avoir toute notre attention et notre affection comme un bébé qui pleure parce qu’il veut qu’on le tienne dans les bras. Et bien sûr le casting porte la série à merveille.Lire la critique complète.
The Originals (The CW)
La première saison de The Originals vient de se terminer sur The CW. Quel bilan peut-on en tirer ? Celle-ci s’est révélée avant tout très forte, beaucoup plus adulte et meilleure que The Vampire Diaries. Si on compare l’évolution des deux séries, le spin-off est devenu meilleur que l’original, porté il est vrai par de très bons acteurs, et étant prêt à perdre plusieurs personnages originaux Lire la critique complète.
Agents of SHIELD (ABC)
La première saison d’Agents of S.H.I.E.L.D. est pour autant loin d’être parfaite. Sans les six épisodes finaux, on en serait restés à une série certes agréable mais insignifiante. La saison contient beaucoup trop d’épisodes avec des intrigues faibles voire inintéressantes, qui sont oubliées aussi vite qu’elles ont été vues. Les clins d’oeil à l’univers sont agréables et souvent organiques, mais le fan service est parfois un peu trop présent. Cependant, l’amélioration progressive de la série prouve que Jed Whedon et Maussa Tancharoen savent tirer les leçons de leurs erreurs et promettent une saison deux qui sera bien meilleure dans l’ensemble. Lire la critique complète.
Castle (ABC)
Si la saison 6 de Castle est loin d’être parfaite avec plus d’épisodes moyens que les autres saisons, on retrouve toujours la capacité d’Andrew Marlowe de surprendre, de jouer entre la tragédie et la pure comédie. Le créateur de la série prouve encore une fois qu’il a une très claire idée de ce qu’il veut faire et n’improvise que rarement sur ses intrigues en fil rouge. Il faut cependant espérer que pour la saison 7, il arrive à se renouveler. Avec la majorité des intrigues ouvertes lors du pilote de la série conclues cette saison, cela ne sera pas forcement chose facile. Mais le cliffhanger final permet d’espérer qu’il y parviendra. Lire la critique complète.
The Blacklist (NBC)
La saison 1 de The Blacklist vient de se terminer sur NBC et le moins qu’on puisse dire est qu’elle est satisfaisante. L’époque où les séries ajoutaient des mystères sans répondre aux questions est révolue et la fin de cette pratique est plutôt salutaire. Ainsi, au lieu de nous faire saliver plusieurs saisons, la série a répondu à LA question que tout le monde se posait : qui est le vrai père de Liz Keen ?Lire la critique complète.
Once Upon A Time (ABC)
La seconde partie de cette saison s’est montrée bien plus solide que la première partie avec une histoire qui a avancé suffisamment rapidement mais sans être bâclée et a donné beaucoup de révélations sur le passé des personnages qui font comprendre encore mieux pourquoi ils sont comme ils sont. Lire la critique complète.
Hawaii 5-0 (CBS)
Cette saison a été celle d’une évolution, plus que celle des révélations : on sait juste que Wo-Fat n’est pas le demi-frère de Steve McGarrett comme les fans l’ont longtemps cru. La discussion prévue entre les deux hommes en saison 5 lèvera peut-être le voile. Dans tous les cas, la série sait montrer qu’elle peut toujours se renouveler.Lire la critique complète.
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