Piège en Haute Mer
Réal : Andrew Davis
Cast : Steven Seagal, Tommy Lee Jones
Année : 1992
Des terroristes, avec à leur tête un ancien agent de la CIA (Tommy Lee Jones), assiègent le navire nucléaire le plus puissant de la Marine américaine. Leur but : vendre cet arsenal nucléaire à des trafiquants d’armes internationaux. Mais dans ce plan parfait, ils oublient un détail : Casey Ryback (Steven Seagal), un ex-combattant d’élite. Son plan favori : l’action de commando…
Que serait cette rubrique sampleur/samplé sur le thème Die Hard sans son film avec Steven Seagal ? Ici, des terroristes décident de voler un navire militaire. Évidement, les militaires à bord dudit navire doivent manquer d’entrainement ou être des bleus puisqu’ils se font maîtriser en mois de deux par l’équipe de terroristes. Tout irait bien dans le meilleur des mondes pour Tommy Lee Jones, le grand méchant, s’il n’avait pas oublié une personne : le cuisinier Steven Seagal.
Piège en haute mer c’est Die Hard sur un bateau, la formule est donc respectée avec un homme seul contre tous et des terroristes armés jusqu’aux dents.
Piège en Haute Mer – Bande Annonce
Piège à grande vitesse
Réal : Geoff Murphy
Cast : Steven Seagal, Eric Bogosian, Katherine Heigl
Année : 1995
Le Grand Continental et ses passagers sont les otages d’un ingénieur surdoué et dangereux, Travis Dane. Son but : obtenir du gouvernement une rançon d’un milliard de dollars. Sinon, grâce à un satellite placé sous son contrôle, il rayera Washington de la carte! Son plan est parfait à un détail près : l’un des passagers du train est un ancien Marine, ex-cuisinier à bord de l’USS Missouri : Casey Ryback
Steven Seagal again…. Évidemment, tous ces films ont été tournés avant l’arrivée des médias sociaux et même la démocratisation du portable. Sinon les terroristes pourraient se prévenir et se donner un conseil : toujours se méfier du cuisinier. Dans cette suite de Piège en Haute Mer, Steven Seagal casse du terroriste à bord d’un train cette fois-ci.
Un Die Hard dans un train : Toujours cuisinier, toujours seul face à une bande de colosses armés jusqu’aux dents. Il sauvera les otages parmi lesquels se trouve la jeune Izzie Stevens ! Visiblement Katherine Heigl choisissait déjà mal ses films à l’époque.
Piège à Grande Vitesse – Bande Annonce
Les Ailes de l’Enfer
Réal : Simon West
Cast : Nicolas Cage, John Cusack, John Malkovich, Steve Buscemi et Nick Chinlund
Année : 1997
Cameron Poe est un ancien ranger de l’armée américaine qui vient de subir 8 ans de prison pour avoir défendu sa femme lors d’une agression. Pour sa sortie, il est transféré par avion avec un groupe de prisonnier extrêmement dangereux vers une prison de haute sécurité. Pas de chance pour Poe : l’avion se fait dévier par un pirate de l’air appelé « le Virus » qui désire libérer un de ses anciens hommes qui fait partie du convoi. Poe prend alors le parti de se battre contre cette bande de psychopathes et éviter que l’avion ne s’écrase sur la ville de Las Vegas…
Die Hard dans un avion de prisonnier avec un casting assez solide. Nicolas Cage est le gentil père de famille, incarcéré à tort pour un meurtre en légitime défense et prêt à sortir pour retrouver sa femme et sa fille qu’il n’a jamais vus. Malheureusement pour lui, John Malkovic, alias Sirus the Virus, a d’autres plans et détourne l’avion…
Ici les terroristes ont été remplacés par une bande de prisonniers belliqueux, mais le principe reste le même : Nicolas Cage, seul contre tous dans un avion.
Réalisé par Simon West a qui l’on doit The Expendables 2, Les Ailes de l’enfer est plus tôt un bon divertissement. Le film avec The Rock lança la carrière de Nicolas Cage comme acteur de film d’action.
Les Ailes de l’Enfer – Bande Annonce
Mort Subite
Réal : Peter Hyams
Cast : Jean-claude Van Damme, Powers Boothe et Raymond J. Barry
Année : 1995
Aux côtés de 17 000 spectateurs enthousiastes, parmi lesquels le Vice-Président des États unis, Darren McCord et ses enfants assistent à la coupe Stanley, finale du championnat du monde de hockey sur glace. La joie des spectateurs s’évanouit quand un groupe de terroristes prend le stade en otage, réclamant un milliard de dollars avant la fin de la rencontre. Ils menacent de faire exploser la patinoire, provocant un véritable carnage…
Notre bon vieux Belge spécialiste des arts martiaux et d’une philosophie que lui seul comprend. Ici Mort subite, c’est un peu Die Hard dans une arène de Hockey pendant les finales de la Stanley Cup !
Une fois de plus des terroristes débarquent, mais ils n’avaient pas compté sur la présence du responsable de la sécurité qui va déjouer leur plan, et en même sauver 17 000 personnes prises en otage (Merci Jean-Claude). La copie de Die Hard va très loin puisse que le film reprend l’Hymne à la joie de Beethoven, qui est l’un des éléments clés de la franchise de Bruce Willis. Sans gêne.
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