André Øvredal, réalisateur de Jane Doe Identity ou The Autopsy of Jane Doe dans son titre original a rencontré le Cerveau. La Brainterview.
Ça y est, ce mercredi sort en salle un bijou de l’horreur, plus d’un an après avoir été montré et fait sensation au Festival de Toronto : Jane Doe Identity
Récompensé par le prix du jury jeune au Festival International du Film Fantastique de Gerardmer, Jane Doe Identity arrive en salle ce 31 Mai. A l’occasion du festival, le Cerveau s’est entretenu avec le réalisateur André Øvredal.
Ce dernier est revenu sur le film avec le Cerveau, le corps, l’autopsie, mais aussi pourquoi faire ce film de genre, alors que ce dernier est connu pour être friand de fantasy, notamment depuis Trollhunter.
L’histoire de Jane Doe Identity commence dans une morgue américaine, quand la police leur amène le corps immaculé d’une Jane Doe (expression désignant une femme dont on ignore l’identité). Tommy Tilden et son fils, médecins-légistes, pensent que l’autopsie ne sera qu’une simple formalité.
Au fur et à mesure de la nuit, ils ne cessent de découvrir des choses étranges et inquiétantes à l’intérieur du corps de la défunte. Alors qu’ils commencent à assembler les pièces d’un mystérieux puzzle, une force surnaturelle fait son apparition dans le crématoire…
Un film angoissant jouant sur la peur viscérale de la mort, dans un huis clos inédit, efficace et effrayant.
Découvrez l’autopsie de Jane Doe Identity– en brainterview – avec le réalisateur ci-dessous.
Jane Doe Identity : Brainterview avec André Øvredal (réalisateur)
Crédit photo : ©Droits réservés
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