Borderlands : The Handsome Collection

Borderlands : The Handsome Collection, c’est comme si on prenait ce que le monde avait de mieux à offrir et qu’on le mettait sur un seul disque. En HD.

Borderlands, pour le Cerveau, c’est ce qui est arrivé de mieux au genre du jeu de tir à la première personne depuis belle lurette. Il suffit de voir comment Il en parle à chaque fois qu’un nouvel épisode sort ou qu’une news tombe sur le sujet. Il faut dire qu’avec son univers complètement dingue, son gameplay aux oignons, sa campagne solo pouvant être jouée en coop et son infinité d’armes récupérables, la série des Borderlands a réellement tout pour plaire. Mais s’il n’y avait qu’un seul de ces points à retenir, c’est bien évidemment celui qui donne son nom au jeu dont on va parler aujourd’hui, le Cerveau veut parler du Beau Jack, l’antagoniste dont tout le monde rêve.

Le seul, l’unique

The Handsome Collection, c’est avant tout, l’histoire d’un homme, et pas comme tous les autres. Oh non, celui-ci est beau, charismatique, intelligent, courageux… et diabolique. Le Beau Jack (ou Handsome Jack en version originale) est le principal méchant de Borderlands. Simple employé chez Hyperion avant d’en être à la tête, cet arriviste sans foi ni loi va mener la vie dure aux chasseurs de l’Arche qui viennent en quête de gloire et de fortune sur Pandora. Ce portage compile, comme son nom l’indique, l’intégralité de l’histoire de ce méchant inoubliable avec Borderlands 2 (première fois qu’il apparait) et Borderlands : The Pre-Sequel (avec Jack avant qu’il devienne le Beau Jack).

Pourquoi changer une équipe qui fait tout péter ?

Sur le principe, rien de nouveau sous le soleil : les deux jeux sont basés sur le même gameplay, à savoir gagner de l’expérience pour faire évoluer son personnage, ramasser les meilleures armes pour tout dézinguer, apprivoiser la faune locale, faire ami-ami avec les tarés du coin… Après tout, jusque-là, personne ne se plaint de rien. Tout fonctionnait avant et tout fonctionne maintenant. Mais en plus beau. Déjà que le l »effet cartoon (ou cel-shading) était impeccable sur ancienne génération de consoles, alors là ça flamboie dans tous les sens. En somme, Jack n’a jamais été aussi Beau.

Valeur ajoutée

Cependant, l’un des ajouts majeurs de cette version, c’est la présence massive des DLC pour les deux Borderlands. Arènes multijoueurs, missions additionnelles de très bonnes factures, niveaux supplémentaires, personnages optionnels… De quoi s’occuper de très longues heures avec tout ce beau monde. Surtout que le DLC 4 de Borderlands : The Pre-Sequel qui est sortie récemment est déjà inclus dedans ! A vous les duel informatiques dans l’esprit dérangé de Claptrap. En parlant de lui d’ailleurs, le petit ajout qui fait baver le fan plus qu’une reproduction grandeur nature du masque du Beau Jack (non, le Cerveau ne fait pas une demande dissimulée), c’est le Claptrap télécommandé inclus dans l’Edition Collector de la Handsome Collection. Moyennant la modique somme de 349,99€, le petit robot bavard et insupportable prend enfin vie entre les mains du joueur à travers une application à télécharger gratuitement sur son smartphone. Il sera alors possible de le contrôler du bout des doigts ou avec l’accéléromètre. Une caméra est placée au niveau de l’oeil, ce qui permettra de voir où le petit robot va et une option lui permettant de parler est aussi disponible (même si on le regrette très vite). D’ailleurs, le Cerveau s’est prêté au jeu et est immédiatement tombé amoureux du robot.

Le #Cerveau a pu s’amuser avec le #Claptrap télécommandé compris dans l’édition collector de #BorderlandsTheHandsomeCollection

Posted by Brain Damaged on jeudi 26 mars 2015

Pour les détenteurs des deux opus sur génération précédente, Borderlands The Handsome Collection paraîtra sûrement redondant. Mais rares sont ceux ayant essayé les différents DLC proposés qui, comme à leur habitude chez Gearbox, sont d’une qualité non-négligeable. Les néophytes n’ont pour le coup aucune excuse de passer à côté d’un telle opportunité de rencontrer le Beau Jack et pour peu que vous possédiez quelques deniers en trop, le Claptrap vaut bien son pesant de cacahuètes. Une bien bel édition que voici qui ravira tout le monde. A part peut être le Beau Jack vu ce qu’il prend.