Afin de célébrer le Star Wars Day en ce 4 Mai 2014, le Cerveau a pris le temps de décortiquer à quel point le space opéra a envahi notre quotidien.
On pourra dire ce qu’on voudra, la Geek Era a officiellement commencé en l’an de grâce 1977 où est sorti le premier volet de ce qui deviendra par la suite l’une des plus grande saga cinématographique (et pas que) : Star Wars.
Univers fouillé, scénario allant piocher dans les classiques (notamment grâce à l’influence de Joseph Campbell), retournements de situations, humour, inceste… La première trilogie a défini les bases de la science-fiction contemporaine tout en instaurant de nouveaux codes au cinéma qui font encore aujourd’hui le bonheur des producteurs d’Hollywood. Mais outre cette aventure cinématographique hors du commun, Star Wars a inspiré de nombreuses oeuvres culturelles, que ça soit à la télé avec de simples références dans FRIENDS, How I met your Mother, The Big Bang Theory, Scrubs ou Kaamelott jusqu’à des épisodes spéciaux des Simpsons, de South Park ou de Community pour ne nommer que les plus connues. Au cinéma les parodies sont légions avec le film des Griffins, La folle histoire de l’espace… Le Cerveau en passe et des meilleures.
Mais là où Star Wars fait fort, c’est que 37 ans après la sortie du premier opus et à l’aube de la troisième trilogie, son influence dans les moeurs est telle qu’elle dépasse le domaine des oeuvres culturelles pour s’ancrer dans le quotidien de façon presque imperceptible désormais. Et le Cerveau sait de quoi il parle.
La force est avec moi
Avant toute chose et afin de calmer les foules de fans qui sortent déjà les torches et les fourches, la partie du Cerveau qui rédige cet hommageest un puriste un vrai qui ne jure que par la première (et seule) trilogie. Non Jar jar Binks n’a rien à voir avec Star Wars. Non, Dark Vador n’est pas un petit enfant capricieux qui deviendra un abruti total par la suite mais le méchant le plus badass de tous les temps. Et non non non la Force ne se mesure pas à son « taux de midi-chlorians » saperlipopette mais à sa dévotion et sa force de caractère et d’esprit.
Vous voila désormais prévenus. Amateurs de la « prélogie » ou de l’univers étendu, je vous aime bien, quand même. Après tout, on est tous un peu des frères… en quelque sorte !
Star Wars : Les films qui ont envahi ma vie
1. Star Wars m’a appris a apprécier un combat entre une marionnette et un nain dans une canette plus que n’importe quel duel épique contre un dragon ou autre monstre fantastique.
2. Star Wars m’a fait aimé la moustache. Plus que Magnum. « Oh Yeah ! »
3. Désormais je fais super gaffe à qui je parle dans un bar.
4. JE. VEUX. UN. FREAKIN. SABRE LASER.
5. Je n’arrive plus à dormir autrement.
6. Parfois, je mets mon casque en arrière, je prends un regard vide et je suis un inconnu dans la rue en prétendant être ce type (dont je viens d’apprendre qu’il s’appelait Lobot. Mais je l’ai toujours trouvé sous-estimé dans sa prestation, son rôle et son impact dans Star Wars).
7. J’ai redécouvert Shakespeare. Qui a dit que la culture pop ne savait pas intéresser les nouvelles générations à l’art classique ?
8. Quand j’ai vu Star Wars pour la première fois dans les années 90, l’Empereur Palpatine me faisait grave penser à ma prof d’anglais. Surtout que je l’imaginais trop fomenter des plans diaboliques dans son peignoir sombre. Avec le recul, elle lui ressemblait vachement faut dire.
10. S’il y a bien un truc qu’Han Solo m’a appris, en plus de tirer en premier, c’est parler aux femmes.
11. Après de longues années d’apprentissage, d’expériences et de policiers venant frapper à ma porte parce que les voisins croyaient que je torturais des bébés phoques, je sais PARFAITEMENT parler le wookie. Et ça, ça fait classe sur le CV.
12. Star Wars m’a refilé la peur viscérale de tomber sur ma sœur jumelle perdue depuis longtemps et que je la drague sans faire exprès.
13. A chaque fois qu’on m’invite à une soirée et que l’organisation est super galère, je ne peux m’empêcher de penser au Amiral Ackbar.
14. Je veux devenir un Jedi. Pour une seule et parfaitement saine raison :
15. Malgré la recrudescence des reboots, des remakes et autres prélogies ou suite pour la majeure partie des films des années 80, Star Wars reste la seule où une infime partie de moi souhaite ardemment que JJ Abrams ne fasse pas n’importe quoi. Parce que déjà quand Lucas supervise une prélogie n’importe comment, on voit ce que ça donne. Donc JJ, au nom de tous les Star Wars fans et cinéphiles de tous poils, ne foire pas ça s’il te plait.
Crédits : ©DR
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