Barbie vs réalité féminine : l’infographie qui rétablit la vérité

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Après Barbie sans maquillage, voici l’infographie qui dénonce l’improbabilité de la poupée Barbie dans la vraie vie afin de lutter contre l’anorexie et les troubles de nutrition.

Toutes celles qui l’ont prise comme exemple dans la vraie vie ne verront plus la vie en rose. Voici l’infographie qui rétablit la vérité et qui dénonce l’une des plus grandes infamies de la pop culture : le culte du corps Barbie.

Ça va déchanter à Malibu puisque, pour combattre les troubles liés à l’anorexie, l’association américaine Rehab.com a décidé de s’attaquer à la poupée légendaire de Mattel afin de briser les tabous liés à la maladie. A travers des statistiques et une étude comparative entre poids/taille réel et normal d’une femme, l’association dénonce l’improbabilité et surtout l’impossible Barbie dans la vie réelle.

Même Pamela Anderson ne peut prétendre lui ressembler et c’est pas faute d’essayer. Hanches et taille trop fines, cou trop petit pour soutenir un crane, jambes beaucoup trop longues sur des tous petit pieds cambrés…. Un véritable tableau comparatif tout en image pour dénoncer la supercherie de ce corps en plastique dans une campagne intitulée tout simplement «Dying to be barbie, in pursuit of  the impossible». Autrement dit dans notre langue « mourir pour ressembler à Barbie, à la poursuite d’un idéal impossible ».

Une campagne coup de poing pour rehab.com qui souhaite vraiment bousculer les codes de la minceur et prévenir des dangers du culte de la maigreur dans les médias de notre société. Un culte qui risque de coûter la vie à énormément de jeunes femmes qui consultent régulièrement des site pro-ana (pro anorexie) et imaginent pouvoir un jour atteindre des idéaux de magazine de mode ou de Série-TV, souvent retouchés par ordinateurs.

Une initiative à saluer, pour un sacré coup dur à la poupée qui a fait rêver plus d’une petite fille. Et si Barbie épousait les normes de notre société, ce ne serait pas plus mal, non ? Quant à Ken, qu’il reste comme il est, on va pas briser tous les fantasmes.

 

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