Bow Ties are cool

Les noeuds Paps c'est cool. Très cool. On n'arrêtera pas de le dire. Eleven aussi. Les Fez aussi tiens ! Les Stetsons aussi tant qu'à faire. Le Noeud Papillon ou le symbole ultime qui marquera cette incarnation du Docteur, un poil hipster dans son look avec sa veste en tweed et son Jean noir serré. Un costume qui évoluera en saison 7 vers un style un poil plus victorien, veston compris, sans perdre bien évidemment le noeud !

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Les Ponds

Avec ce 11ème Docteur, ce n'est pas un, mais deux compagnons qui rejoignent le TARDIS. Et pas n'importe lesquels : un couple, amoureux, qui va suivre le Docteur dans ses aventures et participer à son histoire à l'insu de leur plein gré. Un couple, mené par Amelia Pond, femme de cran et de poigne, qui permet d'éviter toute tension sexuelle entre la compagne et le Docteur, comme ce fut le cas avec Rose et Martha. Un couple qui aura marqué les esprits avec un départ en saison 7 émotionnellement chargé.

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La faille dans le Mur

La Faille, cet élément mystérieux qui a été le fil rouge de la première année du Docteur dans la peau de Matt Smith. Enigme qui semblait résolue dans le final de saison avec la Pandorica, la faille n'hésite pas à venir faire son grand retour dans l'ultime épisode de cette incarnation du Docteur. Une faille vers d'autres Univers qui apparemment pourrait permettre au dernier des Seigneurs du Temps de retrouver les siens. Une idée de génie de Moffat qui permet de boucler la boucle qui a introduit Matt dans la peau d'Eleven. Brilliant

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Van Gogh

Doctor Who nous a toujours offert de grands moments d'Histoire avec des personnages que nous connaissons tous : Shakespeare, Churchill, Agatha Christie, Hitler, Madame de Pompadour... Mais la rencontre la plus émouvante reste celle du Docteur et l'un des peintres les plus marquants de l'histoire : Van Gogh. Ici, le génie du Docteur s'efface devant un Van Gogh poignant. Un épisode incontournable, aussi bien pour ceux déjà amoureux des oeuvres du peintre que pour le faire découvrir au plus jeunes.

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I AM TALKING

"Hello Stonehenge ! Who takes the Pandorica takes the universe..." (oui le Cerveau connait par coeur ce discours). S'il y a bien une citation qui restera dans les annales de Doctor Who, c'est bien celle-ci. Un discours des plus épiques, des plus inspirants et héroïques du Docteur, servi avec poigne par un Matt Smith magistral sur les pierres de Stonehenge. Un grand moment de TV & de science fiction sûrement culte pour les 50 ans à venir.

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Le Meilleur Coloc'

Craig aura été le compagnon éphémère le plus apprécié de la saison 5. Un épisode atypique pour un Docteur qui s'immisce dans la vie quotidienne d'un mortel terrestre en tout bizarrerie. On rit, on apprécie, on ne regrette même pas Amy pendant 45 minutes. L'amitié forgée entre les deux personnages a tellement séduit les spectateurs que les scénaristes remettent les couverts en saison 6 avec une addition de taille : Stormageddon, ou mini Craig, c'est comme on veut !

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Le docteur chez l'oncle Sam

Le Docteur face à Nixon et le FBI, portant un Stetson et pique niquant sur les bord du Lac en Utah, ou à bord d'Appollo 13. Qui l'aurait cru ? Un double épisode en deux parties qui ouvre la saison 6 de Doctor Who en grandes pompes et qui prouve l'imagination débordante du showrunner de la série et son équipe de scénaristes. Oui les Rosbeefs ont conquis l'Amérique et avec brio !"I Wear a Steston now, Stetsons are cool"

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L'Ame du TARDIS

Elle est belle, elle est bizarre, elle est SEXY et elle est sans le vouloir la véritable épouse du Docteur ! Grâce à Neil Gaiman, le TARDIS, personnage (oui c'est un personnage... non mais!) prend vie et interagit avec Le Docteur pour un des meilleurs épisodes de la série. Poignant, drôle, bizarre, surprenant et émouvant, L'ame du Tardis est une belle réussite pour Neil Gaiman, qui prête sa plume pour la 1ère fois à la série. Il rempilera en saison 7 avec Nightmare in Silver, un poil moins convaincant. Après avoir fait parler le TARDIS, difficile de faire mieux.

Quand un homme bon part en guerre

S'il ya bien, encore, un moment charnière dans l'histoire d'Eleven, c'est bien le tournant de l'histoire proposé dans A good Man goes to War. Un, épisode qui introduit Strax, Madame Vastra et Jenny, qui explique qui est River, pour 45 minutes épiques qui resteront dans l'histoire de Doctor Who. Un épisode qui, surtout, remet une fois de plus en cause la nature du Docteur quant à son combat pour sauver le monde. Guerrier ? Sauveur ? La réponse, vous la connaissez déjà

Let's Kill Hitler

Introduire le personnage d'Hitler face à un personnage qui peut manipuler le cour du temps et l'histoire, c'est relativement risqué. Et pourtant ça marche ! Une rencontre drôle et surtout loin d'être traumatisante malgré tout le poids porté par un nom et personnage historique pareil. Ici point de haine exacerbée, mais plutôt une diversion. Un épisode qui explique avec intelligence pourquoi le temps est fait de moments fixes, et qui surtout, explique la genèse de River telle que nous la connaissons.

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Le Mariage de River Song

Ah les mariages, ça fait toujours son effet. On lâche sa petite larme, on aimerait que tout ce bonheur nous arrive aussi. Surtout celui partagé par River et le Docteur. River, ce personnage facétieux, énigmatique, puissant et sexy introduit en saison 4 avec David Tennant, proposant un parcours en chronologie inversée pour ces deux amants maudits. Une intrigue renversante pour une femme elle aussi tout aussi renversante qui a pour parents deux compagnons cultes. De quoi saluer l'imagination de Moffat.

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RESET

Un vieux Docteur, une Tour, une planète mystique et réputée dangereuse pour une régénération aussi épique que le discours de Stonehenge offert par notre Docteur national. Pour dire au revoir au Docteur, quoi de mieux qu'une désintégration de son pire ennemi par lui même ? Un départ enflammé pour un Docteur déjanté, tout feu tout flammes, qui nous manquera ! Merci Matt Smith et bienvenue à Capaldi dans la grande famille de Doctor Who !