On attend la suite
The Crazy Ones (CBS)
Un pilote qui réussit à donner une bonne idée du ton comique attendu par le genre de la série, non sans rappeler celui farfelu d’Ally McBeal. Le tout sans vraiment réellement donner une image du potentiel de la série en général, notamment à cause de la rapidité des séquences comiques qui s’enchaînent. Si l’on sait que le show va reposer sur la dynamique du duo comique Gellar/Williams, on espère que The Crazy Ones creusera un peu plus la dimension de ses personnages et montrera plus de potentiel dans les épisodes à venir. Lire la suite.
The Big Bang Theory (CBS)
Ce sont l’humour et plusieurs bonnes répliques, sans parler de Jim Parsons et Kaley Cucuo qui sauvent ces deux épisodes de premiere et c’est un plaisir de retrouver les personnages de The Big Bang Theory. Toutefois, les scénaristes vont bientôt se retrouver à court de moyens de trouver différentes manières de dire la même blague. Ils doivent maintenant s’éloigner des sentiers battus sous peine de lasser leur public. Lire la suite.
Grey’s Anatomy (ABC)
Avec quelques rebondissements assez prévisibles, une tension toujours à son paroxysme pendant au moins 45 minutes et du rire, ce season première de l’héritière d’Urgences propose du Grey’s Anatomy concentré : entre espoir et désespoir, mort et lien fraternels, sexe, la fin de Calzona et quelques scènes de rires. « Seal Our Fate » et « I Want You With Me », un double plaisir pour une bonne perf de drame concentré façon Grey’s Anatomy. Lire la suite.
2 Broke Girls (CBS)
On a plaisir à retrouver Max et Caroline pour une troisième saison. Les filles ont retrouvé leur niaque et leur complicité est toujours aussi présente. Elles repartent quasiment de zéro mais elles y croient à nouveau. Elles ne sont pas encore Martha Stewart, elles ont encore du chemin à faire. Elle mûrissent et apprennent de leurs erreurs. Il est clair que la route sera encore semée d’embûches et qu’elle ne feront pas fortune demain, mais après tout, le titre de la série est « 2 Broke Girls ». Ça fait trois ans qu’elles essayent de percer. Elles sont fortes et les échecs ne leur font plus peur. On attend à présent de voir si cette arrière-boutique va fonctionner ou si elles vont se cassées encore la figure. Lire la suite.
Trophy Wife (CBS)
Sur le modèle de Modern Family, Trophy Wife est une série familiale décalée avec des personnages haut en couleurs. Mais ABC a d’autres sitcoms qui traitent de la famille et même si elles ne se ressemblent pas, le public pourrait se lasser. Entre les nouveautés, Back in the Game et The Goldbergs, les vétérans Modern Family et The Middle ainsi que The Neighbors et Last Man Standing qui reviennent respectivement pour une saison 2 et 3, il va être difficile pour la série de se faire une place au milieu de toutes ces familles. Elle a pourtant ce qui faut pour réussir. Lire la suite.
Back in the Game (ABC)
Back in the Game ne sera pas la série de l’année, et ne fait pas rire à gorge déployée. Cependant elle fait passer de très bons moments et a le potentiel de devenir de ses séries remplis de charmes qui nous laisse toujours un sentiment de bien-être après chaque visionnage. En injectant un peu plus d’humour et en trouvant son rythme de croisière, la série à toutes les chances de passer l’année. Lire la suite.
Glee (Fox)
Malgré quelques moments toujours très hasardeux et des choix discutables comme la relation Artie/Kitty, la saison commence bien. On ne sait pas ce que la production avait initialement prévu pour ce début de saison avant la tragique disparition de Cory Monteith. Finn n’est pas adressé ce qui est bizarre. On ne peut pas s’empêcher de penser à lui surtout quand on voit Rachel. Les auteurs ont plus ou moins bien réussi à incorporer certaines chansons des Beatles dans l’histoire. Blaine qui demande de l’aide avec Help, Rachel qui se souvient du passé avec Yesterday, Got To Get You Into My Life qui renforce dans l’idée que Blaine et Kurt ne rompront jamais leur contact quoi qu’il arrive. Lire la suite.
Mon oncle Charlie (CBS)
Ce premier épisode, intitulé Nangnangnangnang, laisse un sentiment ambigu : la série s’essouffle, devient répétitive, mais le retour à une structure familiale avec l’arrivée de Jenny et une Evelyn Harper de nouveau présente rappelle l’âge d’or de la série. La saison 11 saura-telle redonner un souffle à la série ? Si cette nouvelle saison s’avérait sa dernière, ce qu’on souhaite, mais gardait la formule rétablie dans cet épisode au titre imprononçable, Chuck Lorre pourrait faire partir la série la tête un peu plus haute. Lire la suite.
The Goldbergs (ABC)
The Goldbergs fait un peu penser à Tout le monde déteste Chris qui racontait l’enfance de Chris Rock dans les années 80. La série complète une petite vague de séries se déroulant dans les années 80 qui ont fait surface en 2013. Le drama adulte The Americans et le drama ado The Carrie Diaries. Des séries radicalement opposées qui portent chacune son regard sur une décennie que beaucoup regrettent et aiment à retrouver sur le petit écran. Les années 80 sont définitivement revenues à la mode. On attendra de voir ce que donne The Goldbergs sur la longueur mais pour l’instant, la comédie a un véritable potentiel. De plus, elle a l’avantage d’être une série à une caméra ce qui dynamise l’histoire et surtout, évite les rires en boites. Lire la suite.
Esprits criminels (CBS)
L’affaire de la semaine –ou plus exactement des deux semaines- a un air de réchauffé et de déjà vu. Il faut attendre les dernières minutes pour comprendre ce qui se déroule avec une situation qu’on n’avait pas vue venir et que l’épisode devienne intéressant. (…) Le retour d’Esprits criminels est marqué par un essoufflement et une répétition qui peuvent parfois lasser. Est-ce que la série saura trouver nouvel arc intéressant. L’arrivée annoncée dans quelques épisodes d’Esai Morales au casting pourrait faire bouger les lignes. Lire la suite.
Revolution (NBC)
Ce season premiere de saison 2 revient donc au concept de base de Revolution : si l’on est frustré que l’électricité ait été remise en route et éteinte en moins de 4 minutes et déjà lassé dès le début de cet épisode, on sent que la série souhaite prendre une nouvelle direction, bien loin de celle choisie en saison précédente. On revient aux fondamentaux: montrer la misère d’un monde sans les avancées technologiques offertes par l’invention de l’électricité au début du 20ème siècle. Lire la suite.
Mom (CBS)
Avec un tel casting et le roi des sitcoms à sa tête, Mom a tout pour réussir. On espère que la série s’améliorera au fil des épisodes. Ce qui est sûr c’est que Mom est bien mieux que Dads qui traître aussi des relations filiales mais très différemment. Allison Janney est un trésor de la télévision, il serait dommage de gâcher son talent. C’est une première série pour Anna Faris, l’actrice doit donc prendre ses marques et trouver son rythme mais elle a clairement les épaules pour. On sent la patte Chuck Lorre, il y a comme une essence de Mon Oncle Charlie mais en moins vulgaire et plus touchant. La série est loin d’être un désastre mais il lui faut du temps pour s’installer. Lire la suite.
This is the end my only friend… : Déception
Dexter (Showtime)
Dexter aura marqué son époque. Une série comme jamais vue auparavant, avec un des plus grands anti-héros jamais créé. La série s’est assez rapidement éloigné des livres de Jeff Lindsay dont elle s’inspire et s’est créé sa propre identité. On se souviendra de Miguel Prado, de Trinity ou encore du Ice Truck Killer, premier grand ennemi de Dexter. Elle aura aussi fait partie d’une vague d’anti-héros adorés du public à la télévision ces 10 dernières années. De Breaking Bad en passant par Sons of Anarchy jusqu’à celle qui veut la remplacer sur Showtime, Ray Donovan et bien d’autres. Une vague de pourris que les gens adorent détester ou détestent tout court mais des personnages qui font réagir et qui provoquent. Michael C. Hall aura été magistral de bout en bout. Depuis Six Feet Under, l’acteur a prouvé son talent même si la série ne lui donnait pas toujours le bon matériel, il en tirait toujours quelque chose. Jennifer Carpenter aura aussi été très bonne dans son rôle. L’actrice a démontré qu’elle pouvait jouer et être plus que cette flic qui jure comme pas possible. Lire la suite.
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