La saga Metal Gear Solid
Bon si on résume, jusque là on a eu les enfants, les ex-femmes, quelques vieux… Tiens, parlons des relations fraternelles. Quoi de plus beau que de se battre avec son frangin pour la dernière tartine de Nutella ou le cœur d’une gente demoiselle ? Sur le sujet, le game designer Hideo Kojima dit : « bande de petits slips » (en japonais dans le texte).
Dans sa série des Metal Gear Solid commencée en 1998 sur Playstation et en 1987 sur MSX avec Metal Gear, ça c’est pour les puristes du fond qui ralent. Sauf que ce ne sont pas les deux premiers qui nous interessent donc on se calme et on écoute. Le joueur incarne Solid Snake chargé de combattre un groupe de terroristes ayant pris possession d’une arme nucléaire sur pied. La saga est surtout connue pour son gameplay d’infiltration qui a posé les bases du genre et pour son scénario dont la complexité ferait passer n’importe quel texte de loi pour une aventure de Martine. Et le vilain méchant pas beau du premier opus, c’est le frère de Solid Snake en personne (originalement appelé Liquid Snake). Oubliez les petites luttes pour savoir qui va prendre le lit du haut ou qui sortira les poubelles. Non, eux, ils prennent le monde en otage et se battent torse nu dans les décombres d’un complexe en flamme afin de savoir qui était le plus aimé par pôpa (même si concrètement ils sont plus clones de ce dernier que fils biologiques, ça encore c’est pour vous les tatillons à côté du radiateur). Metal Gear Solid donc, jeu légendaire abordant à peu près tous les sujets du monde, de la guerre à l’éthique scientifique en passant par les liens de parenté etc… auquel il faut absolument avoir joué, de même que ses suites. Mais la prochaine fois que vous voyez votre frangin ou votre frangine, faites lui plein de bisous. Le Cerveau ne veut pas se retrouver menacé d’hiver nucléaire à cause d’une corvée de vaisselle.
Metal Gear Solid Trailer
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