Skyrim : Les 7 étapes de l’addiction

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Skyrim qu’est ce que c’est ? Pauvres malheureux, vous ne connaissez pas encore le monde merveilleux et enchanté (ou désenchanté tout est relatif) de ce jeu déjà culte ? Voici une petite description rapide : Skyrim nous plonge dans un monde ouvert médiéval fantastique. Après l’assassinat du Haut Roi, dans un monde du nom de Bordeciel en pleine guerre civile où les dragons se joignent au chaos qui y règne déjà… Une seule personne peut les arrêter : Dovahkin, un Fils de Dragon. Et cette personne, c’est vous!

Avec des paysages époustouflants et un univers immersif, ce jeu peut très vite tourner à l’addiction. Les joueurs les plus fervents ne se cachent plus, n’ont plus honte de  leurs heures perdues à jouer et clament haut et fort leurs amour pour ce Dieu Virtuel du nom de Dovhakin.  Avant de s’accepter, ces derniers sont bien évidemment passé par les sept étapes de l’acceptation comme le fait si bien ce jeune joueur, qui ne sait pas ce qui l’attend. Une vidéo comique mais tellement vraie !

Etape 1 :  le choc 

Des graphismes à couper le souffle, un univers gigantesque, un monde historique et fantastique qui se décline sur plusieurs niveaux. Un choc pour tout joueur qui se respecte.

Etape 2 : le déni  

Après 20 heures de jeu, le joueur pense pouvoir encore garder une vie sociale. Malheureusement, il n’a pas conscience du pouvoir de Skyrim…

Etape 3 : la colère

Ne pas réussir à tuer un personnage encore une fois, ca met dans des états pas possible non ?

Etape 4 : l’autopersuasion

Croire qu’on a assez de self-control pour s’imposer un nombre d’heures de jeu, au bout de 15 minutes d’arrêt… Comme le dis si bien le vieil adage « l’espoir fait vivre »

Etape 5 : la culpabilité

Rater des évènements de la vie réelle à cause de ce jeu vous fera ressentir forcément de la culpabilité, comme ce jeune monsieur qui tente vainement de justifier son absence lors d’un évènement important.

Etape 6 : la dépression

L’addiction rend dépressif, c’est scientifiquement prouvé ! Et ce, peu importe l’addiction, qu’elle soit du type drogue douce, dure ou virtuelle. Sauf que cette fois ci, la dépression n’est pas provoquée par le jeu en question, mais plus par la rupture de votre couple. C’est dur, mais c’est ça aussi l’effet Skyrim !

Etape 7 :  l’acceptation

Pour paraphraser notre joueur : « F**k it, this game is Awesome ». Tout est dit ! On s’y est résigné ici aussi. Adieu vie sociale, Bonjour Dovakhin !

crédit photo : DR 

 

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