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Les femmes préfèrent leur téléphone à leur homme

18 mars 2012, 13h07 1

Résultat surprenant d’une enquête : il y a plus de femmes déçues quand elles perdent leur téléphone que quand elles perdent leur petit ami.

Les geekettes lectrices du Cerveau seront-elles d’accord avec cette récente enquête ? Selon une étude dévoilée par le Daily Mail, les femmes qui sont malheureuses à la perte de leur petit ami sont moins nombreuses que celles qui pleurent de n’avoir plus leur téléphone. En effet, 3 femmes sur 10 ont affirmé qu’elles seraient dévastées si elles perdaient leur petit ami, contre 4 sur 10 quand on parle de leur téléphone portable.

Le pire dans cette étude est que selon celle-ci, la majorité des femmes interrogées seraient prêtes à rompre avec leur petit ami pour 700 000 livres (840 000 € environ). Comme quoi l’amour, ça a un prix. Du moins pour les personnes interrogées… Personne ne leur a posé de question dans la configuration où le petit-ami possède lui-même cette somme et bien plus.

Alors, cette étude prouve-t-elle que les femmes sont particulièrement superficielles et vénales ? Non pas du tout, absolument pas ! Maman arrive en premier dans l’ordre des préférences, suivie par ses photographies (pour les souvenirs), son téléphone mobile (pour conserver les photos et appeler Maman), son/sa meilleur(e) ami(e), sa bague en diamant, son animal domestique, son ordinateur portable, son lisseur de cheveux, son sac à dos, son sac à main, sa voiture, son iPod, ses chaussures, sa pince à épiler, son mascara, sa peluche, de vieilles lettres d’amour, ses boucles d’oreilles en diamant et pour finir ses chaussons. Et le petit-ami dans tout ça ? Entre le meilleur ami et la bague en diamant. Bien sûr, il n’y a absolument aucun cliché ici.

Les Hannibales Lectrices partagent-elles cette opinion ? Préféreraient-elles garder leur smartphone ou 800 000 € à leur compagnon ?

Le but de cette étude ? C’est la question que se pose le Cerveau en ce moment même. « Peut-être prouver enfin au monde que, oui, messieurs, on peut se passer de vous » ont dit les glamgeekettes de la rédaction. Bientôt, une autre prouvera peut-être l’impact des journées pluvieuses au Tijuana sur la production de Banane au Mexique. On voit pas trop l’intérêt, ni même le rapport, le postulat de base n’est pas forcement très correct, mais ça vaut bien cette enquête Ô combien sérieuse.