On attend la suite
Atlantis (BBC)
La BBC a diffusé le premier épisode de la série qui se veut le successeur de Merlin, Atlantis. Comment s’en sort-elle ? Les débuts de Jason sont plutôt efficaces et l’introduction des différents personnages est réussie. Quand on s’attendait, au vu de l’affiche, à quelque chose de purement kitsch, l’ambition d’Atlantis est portée de manière solide et on a une série à fort potentiel capable de succéder à Merlin. La critique complète
Masters of Sex (Showtime)
Le fait que Masters of Sex se passe dans les années 50 donne une tout autre dimension à la série. Les gens étaient très conservateurs, beaucoup plus qu’aujourd’hui. Le sexe est une chose que l’on faisait mais dont on ne parlait pas. Masters et Johnson vont changer la donne et révolutionner les choses. Michael Sheen est très bon dans le rôle de Masters mais il a ce côté froid qui pour le moment n’aide pas à s’attacher à lui. L’acteur est cependant très bon et réussi à transcrire la contradiction du personnage qui travaille sur un sujet qu’il est incapable de reproduire chez lui. Lizzy Caplan brille de mille feux. Elle est excellente dans le rôle de Virginia. L’actrice étant habituée à la comédie (Party Down, Bachelorette), il est agréable de la voir explorer le côté dramatique de son talent. La critique complète
Revenge (ABC)
Revenge est une série au principe passionnant, avec un thème qui remonte au Comte de Monte-Cristo. Mais la série a parfois tendance à s’insérer dans une routine, on en a eu l’exemple avec la saison 2. Mais les choses ont-elles évolué ? La réponse est positive. Ainsi, ce premier épisode de la saison 3 redistribue les cartes et crée de nouvelles alliances –et de nouvelles menaces. […] Emily est plus que jamais en danger cette saison avec plusieurs personnes qui connaissent son secret et qu’elle ne peut contrôler. Revenge a remis en question ses certitudes et on attend la suite avec impatience. La critique complète
Sean Saves the World (NBC)
Sean Saves the World, c’est le grand retour de Sean Hayes dans un rôle important à la télévision américaine depuis la fin de Will & Grace, série dans laquelle il jouait le fabuleux Jack. Et au vu du pilote, c’est un retour gagnant. Du moins pour sa qualité car en terme d’audiences, elle démarre moyennement. […] La crainte qu’on pouvait avoir, c’est que Hayes nous fasse du Jack à nouveau. Ce personnage flamboyant qui aura marqué son époque à la fin des année 90 dans Will & Grace. Mais l’acteur évite cette erreur. Oui son personnage est gay comme Jack et comme Jack, il a un enfant avec qui il doit apprendre à vivre, mais le personnage est complètement différent. La relation avec sa mère est querelleuse mais bienveillante. Il en est de même avec sa fille, les choses ne sont pas idéales mais il y travaille. La critique complète
The Millers (CBS)
Entre blagues de pets, parents qui partagent un peu trop d’informations, forcement sur leur sexualité et une mère qui se mêle un peu trop de la vie de ses enfants, The Millers, créée par Greg Garcia ne se distingue ni par son originalité ni par la finesse de son humour. Et pourtant, le pilote fait rire. On peut remercier Will Arnett, Margo Martindale et Beau Bridges pour ça. Leur talent n’est plus à démontrer et sauve ici un pilote qui aurait pu être horrible avec d’autres comédiens. The Millers c’est l’histoire peu originale de parents qui divorcent et s’installent chez leurs enfants adultes. Ici la maman va chez son fils, Nathan et le père chez sa fille. On se concentre sur le couple mère-fils, très similaires, bien que Nathan le niera jusqu’à son dernier souffle. Leur relation promet d’être à la fois tendre et mouvementée, faites d’incompréhension et conflits de génération. La critique complète
Hello Ladies (HBO)
On craint le running gag du rejeté éternel et des humiliations constantes. Le personnage de Wade fait de la peine. Il est toujours accroc à son ex et n’est donc pas le meilleur bras droit pour la drague. Stuart a une confiance en lui-même assez surprenante même s’il se prend constamment des râteaux. Même son accent anglais n’y fait rien. Les personnages de la série sont très vrais dans le sens où beaucoup peuvent s’y reconnaître, il a donc quelque chose d’intéressant. Merchant devra creuser un peu plus et livrer un programme encore plus drôle que ce pilote. La critique complète
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