Game of Thrones : la série qui a envahi ma vie !

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Une fois n’est pas coutûme, le Cerveau laisse la parole à ceux qui écrivent pour lui, histoire de partager comment Game Of Thrones les a atteint. Une maladie délicieusement envahissante dans la vie réelle.  (possibles spoilers dans les gifs)

Il y a de cela presque deux ans, je partageais avec vous mon addiction naissante pour Game of Thrones en bonne sériephile que je suis. Je commençais déjà à me prendre pour la Khaleesi, même si la ressemblance est loin d’être frappante, ni même notable.

Depuis de l’encre et des épisodes se sont écoulés, et deux ans plus tard, qu’en est-il de mon addiction ? Et bien pas mieux, peut-être même pire… Les joies de mon activité professionnelle n’arrangeant pas les choses, je suis peut-être autant fan si ce n’est plus.

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J’imagine, avec mes collègues, les looks contemporains de nos personnages préférées et je suis même conviée à des évènements où je peux manger King’s Landing (True Story). Comme un peu tout le monde, la folie Game of Thrones m’a touchée. Une véritable et délicieuse pandémie signée HBO.

Chaque décennie de ce nouveau siècle où la pop-culture devient un mode de vie à part entière, une série se démarque. Il y a 17 ans c’était X-Files (et déjà, à l’époque j’étais fan), aujourd’hui c’est Game Of Thrones. Impossible de résister n’est-ce pas ?

Si j’existe c’est être fan de Game of Thrones

Une addiction partagée comme rarement pour une série TV à laquelle personne ne peut résister. Pourquoi ? Il suffit de jeter un coup d’œil sur la série pour comprendre : une narration extrêmement bien ficelée, des personnages féminins et masculins très attachants (ou esthétiquement plaisant – coucou, Khal Drogo, coucou Jaime, même sans main droite, ton charme n’en est pas tari), une musique de plus en plus envoûtante (merci Ramin), des cliffhangers, du sang, des tueries, des dragons, des loups géants… Bref, Game of Thrones, ou l’évasion totale devant mon écran, l’émotion exacerbée qui va avec.

J’ai donc décidé de partager avec vous chers Hannibal Lecteurs, internautes, fans, non fans, Stark, esclaves, Lannisters, ou eunuques, ce qui fait de moi une fan à part entière, un fan peut-être comme vous ou complétement unique, à l’heure où tout le monde se revendique habitant du monde imaginaire de Georges R.R Martin, ce nouveau Tolkien des temps modernes.

Game of Thrones : la série qui a envahi ma vie

1. Les dragons ça me parle bien. Avant je ne jurais que pas Smaug. Mais ça c’était avant

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2. Quand on me parlait de nains, avant je pensais Joséphine : Ange Gardien ou à Fort Boyard et son passe partout. Maintenant je pense au bad-ass Tyrion, c’est bien plus classe
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3. J’envisagerai presque de nommer ma future progéniture féminine Arya ou Khaleesi, peu importe si le nom sera difficile à porter dans 20 ans.

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4. Je n’ai jamais autant eu peur d’avoir un fils un jour. La crise d’ado de Joffrey me donnerait presque envie de me ligaturer les trompes.

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5. J’ai jamais autant rêvé de porter les cheveux longs. Mais ma vie étant un drame capillaire, puisque mes cheveux ne poussent que très peu, je remercie le ciel et Paris pour les extensions à clips vendus dans le quartier de Château Rouge

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6. Le mot spoiler est la meilleure menace que je puisse mettre à exécution si jamais je veux quelque chose. Et ça marche (amis du caprice, je vous salue bien bas)

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7. J’envisage de me cosplayer, chose que je n’ai jamais faite. Petit problème, mon teint du sud ne se prête pas à la pâleur de la Khaleesi. Je me prendrai bien pour Talisa Maegyr, l’épouse de Robb Stark, mais on connait tous le destin funeste qui l’attend. Sans oublier mon histoire de drame capillaire et mes notions de coutures assez basiques. Ça risque d’être compliqué. Remarque ma tata Fatima pourrait peut-être m’aider, elle, elle sait coudre…

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8. On dit toujours que savoir manier plusieurs langues est un atout dans la vie. J’ai donc mis un point d’honneur à apprendre certaines bases de Dothraki et de Haut Valérien. Histoire de briller en société. Et non, ça ne s’arrête pas qu’au simple «Shekh mi shera mi anni» mais je peux par exemple proposer de dépecer une brebis dans la langue aimée de notre sauvage légendaire, Khal Drogo. Je peux compter jusqu’à dix (at, akat, sen, tor, mek, zhinda, fekh, ori, qazat, som thi) et ordonner à mes dragons et mon armée, les deux inexistants, de brûler et massacrer des gens en Haut Valérien. Oui, je sais c’est impressionnant, ça fait toujours cet effet la première fois.

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9. Je me suis fait de nouveaux potes grâce à ma (mes) sonnerie(s) de téléphone. Entre le générique qui retenti pour les appels ou le solennel titre « Mhysa » que j’ai attitré à ma génitrice, rien de mieux pour générer sympathie chez mes compagnons de route sous-terrains : un clin d’œil, un sourire, et même une conversation ouverte sur la série. Tous fans de #GoT, jusqu’à la station Place Monge. Attention à la fermeture des portes.

les stations de metro de westeros

 

10. Toujours dans la lignée du téléphone, je me fais appeler Khaleesi par Siri. Enfin, ce après avoir changé l’orthographe de ce nom dans mes contacts, parce que sinon Siri m’appelle « Khaléhéssi ». Pas très « futfut » Siri….

 

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11. J’ai ouvert un plan d’épargne populaire, histoire que, d’ici deux, trois ans (oui je suis pauvre ça risque de prendre du temps), je puisse me permettre la folie de me faire forger un véritable trône de fer dans mon salon.  A défaut de vivre à Westeros, je serais au moins la Reine et la Mhysa de mon petit nid parisien.

 

s'assoir sur le trone

Ps : Tout ceci est vrai. La rédaction du Cerveau est damaged, à l’image de brain damaged. 

Crédits photos : © DR

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