Panel très riche et intéressant au San Diego Comic Con en prévision de la saison 5 de The Vampire Diaries.
Cette nuit, The Vampire Diaries était à l’honneur du San Diego Comic Con. Étaient présents les productrices Julie Plec et Caroline Dries ainsi que les acteurs Nina Dobrev, Paul Wesley, Ian Somerhalder, Kat Graham et Candice Accola. Ce panel a apporté de nombreuses informations sur ce qui attend les téléspectateurs de la série.
Maintenant que Stefan est prisonnier d’un coffre, en plein lac, et que Silas a pris sa place, que peut-il arriver de pire aux héros ? Julie Plec est allée jusqu’à indiquer qu’un méchant encore plus puissant que Silas pourrait menacer ce dernier. En bonus, on a eu droit à une vidéo, visible ci-dessous. Après avoir récapitulé les quatre premières saisons, elle montre une première scène de la saison 5.
Damon et Elena, un bonheur éternel ?
Désormais, Damon et Elena sont en couple. Et Elena a pris cette décision de plein gré étant donné qu’elle n’est plus sous l’influence de ce dernier. Ses sentiments sont réels. Mais le couple en restera-t-il aux jours heureux ? Julie Plec répond « Il n’y a pas de drame dans le bonheur. On essaie de les maintenir heureux au milieu de toutes les mauvaises choses qui se passent autour d’eux et qui les mettent à l’epreuve.» Ian Somerhalder a d’ailleurs été surpris du choix d’Elena. Il pensait que Damon n’arriverait jamais à avoir à ses côtés une fille qu’il aime. Paul Wesley lui répond : « Ne sous-estime pas les yeux bleus sexy. Ne sous-estime pas le Smolderholder. »
La menace Silas
Concernant Silas, comme dit plus haut, ce dernier utilisera son influence pour essayer d’être le maître de Mystic Falls mais il devra faire attention. Si Julie Plec n’a pas donné d’éléments concrets, elle a sous-entendu qu’il pourrait trouver un ennemi plus fort que lui. Mais que peut-on trouver de plus fort qu’un vampire plus âgé de plusieurs millénaires que ceux qu’on pensait déjà être les vampires originaux ? Réponse dans la saison.
Passage à la fac
Cette année sera aussi l’année du passage à l’université des personnages de The Vampire Diaries, ce qui a fait dire à Paul Wesley : « Pourquoi est-ce qu’on entre dans le système de l’enseignement supérieur ? On est des meurtriers. On peut voler ce qu’on veut. » Caroline « est déterminée à ce que Tyler puisse aller à l’université pour qu’ils soient finalement ensemble, maintenant que Klaus est parti. » Mais la porte est ouverte à des cross-overs avec The Originals, le spin-off de The Vampire Diaries.
Quel avenir pour Katherine ?
Une autre inconnue est la transformation de Katherine : maintenant qu’Elena l’a forcée à prendre l’antidote, comment va-t-elle réagir ? « Les choses ne vont pas bien tourner pour elle. Avec tout ce qu’elle a fait en utilisant ses pouvoirs de vampire pour avoir tout ce qu’elle veut, elle ne va pas se sentir en sécurité. » Elle devra s’habituer à sa condition de simple mortelle.
Bonnie, entre deux mondes
La mort de Bonnie aura comme on s’y attend une place importante dans la saison. Maintenant que Jeremy est le seul à pouvoir communiquer avec elle, il y aura de nombreuses scènes entre les deux personnages. Et elle devra apprendre à faire son propre deuil dans les premiers épisodes. Quant au retour de Jeremy, il sera expliqué par une fausse histoire impliquant qu’il aurait simulé sa propre mort et incendié la maison familiale. Il vivra désormais chez les Salvatore et aura Damon comme colocataire, Elena étant à l’université. On est prévenus de la présence d’éléments de comédie dans leur vie quotidienne.
Le 100e : un épisode musical nu ?
Cette saison 5 marquera aussi le centième épisode de The Vampire Diaries, diffusé au printemps prochain. Julie Plec refuse de dire quels sont ses projets pour marquer l’occasion mais Ian Somerhalder donne un indice : ce sera une comédie musicale où tout le monde sera nu.
Parmi les anecdotes partagées, on apprend que le mot « antidote » (cure en VO), qui était au cœur de la saison 4, obsédait les acteurs. Ceux-ci en avaient assez de le prononcer tellement ils l’ont fait. « Si j’avais dû prononcer le mot une seule fois de plus, j’aurais sauté de l’immeuble où on tournait. » Le mot « pierre de lune », utilisé quelques saisons plus tôt à foison, avait provoqué autant de réactions épidermiques.
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