A voir A zapper 4 : Le classement séries de la rentrée 2013

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On a été (très) déçu

a zapper

Once Upon a Time in Wonderland (ABC)

notation 2sur5

 

Once Upon A Time in Wonderland : Alice au pays des pauvres effets spéciaux - une

Once Upon A Time in Wonderland, c’est Once Upon A Time mais en moins bien. Au fond, c’est la même chose. Le message est que l’amour est plus fort que tout et que c’est le remède de tout, en toute situation. C’est le pouvoir le plus fort et tant qu’on y croit, on peut arriver à tout. On a déjà eu ce message dans Once Upon A Time qui continue de nous servir cette recette avec la recherche de Henry. Alice c’est Blanche Neige et Emma réunies et Cyrus est un mélange du Prince Charmant et de Neal/Bealfire. La Reine Rouge c’est Regina et Jafar c’est Rumple. Quant au Valet, c’est un peu August, Crochet et les sept nains réunis. Bon la comparaison est poussée mais ce n’est pas complètement faux. Au début, Once Upon A Time était original et captivant. Ici on a du réchauffé, ce qui est bien dommage. La critique complète.

Tomorrow People (CW)

notation 2sur5

Tomorrow People : X-Men chez les ados - Une

(…) C’est ici le problème principal de Tomorrow People. La série s’inspire énormément des oeuvres du genre. Ses rares bonnes idées ne sont pas les siennes. De plus, les acteurs sur-jouent très souvent. Malgré des effet spéciaux assez bons et plusieurs intrigues bien installées dès le pilote, Tomorrow People ne se distingue pas. Si elle a le potentiel d’offrir un bon divertissement dans les semaines à venir, elle doit vraiment s’éloigner de ses aînées, or, rien dans ce pilote ne permet de le présager. Au moins, elle ne tombe pas dans l’écueil des drama adolescents. Si on devine un triangle amoureux entre Stephen, John et Cara, il reste, pour le moment, plutôt discret. La critique complète.

Beauty and the Beast (CW)

notation 2sur5

Beauty and the Beast saison 2 : Mon papa est un gangster - une

Beauty and the Beast fait toujours les mêmes erreurs. Elle explique tout dans le moindre détails, prend les téléspectateurs pour des idiots et offre encore de pauvres dialogues qu’on devine presque avant qu’ils les prononcent. Beauty and the Beast se prend aussi un peu trop au sérieux. Le personnage de JT pourrait être plus intéressant, drôle et attachant. Mais ce n’est qu’un pauvre sidekick sans saveur. Il en est de même pour Tess qui n’est pas forcement le personnage le plus agréable. Il est difficile de laisser passer tous les défauts que la série cumule. On ne voit que ça et c’est dommage. Brad Kern (Charmed) le nouveau showrunner tente d’effacer quelques erreurs du passé. Il est compliqué de repartir à zéro mais il donne tout de même de nouveaux challenges. La critique complète.

Crédits photo ©BBC

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