Forza Motorsport 4, le choc des autos

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Dans une interview au Guardian, le directeur artistique du jeu Forza Motorsport 4 a expliqué comment le bolides ajoutés étaient choisis à chaque nouvelles éditions du jeu.

Forza Motosport 4 sera, enfin, disponible en France le 14 octobre prochain, uniquement sur XBox 360. Des nouveaux circuits seront disponibles comme à l’accoutumé, mais aussi pas moins de 90 nouveaux engins portant le nombre de voitures disponibles à 500 alors que, selon le directeur artistique du jeu, Dan Greenawalt, ils en ont en réserve plus de 1500. Comment ils les choississent ? Non ce n’est pas à la courte paille, ni même par envie ou préférence.
« On observe ce qu’il se passe autour de nous. Quelles sont les voitures à la mode aux USA et au Royaume-Uni ? Que rapporte l’émission Top Gear (l’auto-moto UK ndlr) ? Quelles voitures sont dans quels films ? Lesquelles ont de bonnes critiques venant de connaisseurs ? », explique Greenawalt.

C’est pourquoi, ce n’est qu’à partir de cette année que les muscle cars au gros moteurs V8 seront présentes dans le jeu, et seulement dans cette version : « Nous aurions pu les ajouter à n’importe quel moment, mais aujourd’hui elles sont devenues une sorte de symbole de la rébellion contre la Prius », souligne Greenawalt.

Test de performances

Et le mode Autovista, qui permet de présenter les voitures, a renforcé la relation entre la société Turn 10 et les constructeurs automobiles. Ces derniers apprécient la présentation des performances de chaque véhicule. Mais qu’on se rassure, ils ne se laissent pas berner par le marketing. « Le plus souvent, on jette les plaquettes que nous envoient les constructeurs, souvent fournies par le service marketing, et on demande aux ingénieurs. Nous nous basons sur les tests des magazines automobiles ou nous appelons directement les sous-traitants plutôt que le constructeurs lui-même ».
En un mot, pas de pub mensongère dans Forza Motorsport 4. Donc si une voiture se conduit mal, ce n’est pas la faute du jeu, mais bien du constructeur. Enfin ça, c’est ce qu’assure Greenawalt.

Crédit photo : Turn10

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